Attestationsur l'honneur Forfait MobilitĂ© Durable. Je soussignĂ©(e) (prĂ©ciser le nom et le prĂ©nom de la personne qui effectue cette attestation sur l'honneur), nĂ©(e) le (indiquer la Pacs) et attestations sur l’honneur de non-parentĂ©, non-alliance et rĂ©sidence commune (Articles 515-1 Ă  515-7-1 du code civil) Vous ĂȘtes cĂ©libataires, majeurs, et vous souhaitez conclure un pacte civil de solidaritĂ© (Pacs) pour organiser votre vie commune, dans votre mairie de rĂ©sidence commune, ou dans votre consulat ou ambassade dans le ressort duquel dĂ©pend votre Attestationsur l’honneur de sĂ©paration Je soussignĂ©(e) (Votre nom, prĂ©nom, date et lieu de naissance) demeurant Ă  (votre adresse), dĂ©clare sur l’aunĂ©e ma sĂ©paration de fait de (nom, ATTESTATIONDE GARDE ALTERNEE (parents en cours de sĂ©paration ou parents sĂ©parĂ©s en union libre) Nous soussignons: DĂ©clarent sur l’honneur que notre (nos) enfant(s) : Etablissement scolaire : 1er enfant : 2Ăšme enfant : 3Ăšme enfant : Adresse de la mĂšre : Point de montĂ©e : Adresse du pĂšre : Point de montĂ©e : Nous certifions exacts ces renseignements et nous nous attestationde sĂ©paration de fait. Posted on 8. November 2021 8. November 2021 by LedĂ©claration sur l’honneur doit ĂȘtre faite sur papier libre. Sauf mention contraire, elle peut ĂȘtre rĂ©digĂ©e Ă  la main ou Ă  l’ordinateur. La signature, par contre, doit ĂȘtre absolument . l'application du 1° de l'article R. 31-10-3-2 et de l'article R. 31-10-3-3 du code de la construction et de l'habitation, l'emprunteur justifie, pour le bĂątiment dans lequel se trouve le logement, du respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique suivant l'une des modalitĂ©s suivantes 1° Achat d'un logement neuf L'emprunteur justifie du respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique au moyen du justificatif a posteriori dĂ©fini au III ; 2° Construction d'une maison individuelle L'emprunteur justifie provisoirement du respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique au moyen du justificatif a priori dĂ©fini au II. Au plus tard un an aprĂšs la date de dĂ©claration d'achĂšvement de travaux, l'emprunteur justifie que le logement livrĂ© respecte effectivement la condition de performance Ă©nergĂ©tique au moyen du justificatif a posteriori dĂ©fini au III. Toutefois, les modalitĂ©s suivantes sont Ă©galement acceptĂ©es a Si l'emprunteur a conclu un contrat visĂ© Ă  l'article L. 222-1, L. 231-1 ou L. 232-1 du code de la construction et de l'habitation -Ă  dĂ©faut du justificatif a priori dĂ©fini au II, il justifie provisoirement du respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique Ă  l'aide du contrat prĂ©citĂ© mentionnant l'affirmation que la maison individuelle livrĂ©e respectera la condition de performance Ă©nergĂ©tique Ă  laquelle elle est soumise selon les cas dĂ©finis au 1° de l'article R. 31-10-3-2 et Ă  l'article R. 31-10-3-3 du mĂȘme code ;-Ă  dĂ©faut du justificatif a posteriori dĂ©fini au III, l'emprunteur fournit, au plus tard un an aprĂšs la date de dĂ©claration d'achĂšvement de travaux, la preuve qu'il a engagĂ© une procĂ©dure Ă  l'encontre de son contractant, relativement au non-respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique susmentionnĂ©e ; b Si l'emprunteur n'a pas conclu un contrat mentionnĂ© au a, et uniquement pour les logements visĂ©s au a du 1° de l'article R. 31-10-3-2 du code de la construction et de l'habitation, il justifie provisoirement de l'obtention du label " bĂątiment basse consommation Ă©nergĂ©tique, BBC 2005 " Ă  l'aide du contrat d'engagement conclu par lui avec l'organisme de certification choisi pour lui dĂ©livrer le label. Ce contrat mentionne notamment que l'emprunteur s'engage Ă  obtenir le label " bĂątiment basse consommation Ă©nergĂ©tique, BBC 2005 ", dans les conditions fixĂ©es par l'arrĂȘtĂ© du 3 mai 2007 susvisĂ©. 3° Vente en l'Ă©tat futur d'achĂšvement L'emprunteur justifie provisoirement du respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique au moyen du justificatif a priori dĂ©fini au II ou Ă  l'aide soit du contrat de rĂ©servation, soit du contrat de vente en l'Ă©tat futur d'achĂšvement mentionnant l'affirmation que le logement livrĂ© respectera la condition de performance Ă©nergĂ©tique Ă  laquelle il est soumis selon les cas dĂ©finis au 1° de l'article R. 31-10-3-2 et Ă  l'article R. 31-10-3-3 du code de la construction et de l'habitation. L'emprunteur justifie que le logement livrĂ© respecte effectivement la condition de performance Ă©nergĂ©tique au moyen du justificatif a posteriori dĂ©fini au III, au plus tard un an aprĂšs la date de dĂ©claration d'achĂšvement de travaux. A dĂ©faut, l'emprunteur fournit, dans le mĂȘme dĂ©lai, la preuve qu'il a engagĂ© une procĂ©dure Ă  l'encontre de son contractant, relativement au non-respect de la condition de performance Ă©nergĂ©tique. justificatifs a priori mentionnĂ©s au I s'entendent 1° Pour les logements visĂ©s au b du 1° de l'article R. 31-10-3-2 du code de la construction et de l'habitation, de l'attestation Ă  joindre au dossier de demande de permis de construire pour les bĂątiments neufs ou parties nouvelles de bĂątiment, mentionnĂ©e Ă  l'article 3 de l'arrĂȘtĂ© du 11 octobre 2011 relatif aux attestations de prise en compte de la rĂ©glementation thermique et de rĂ©alisation d'une Ă©tude de faisabilitĂ© relative aux approvisionnements en Ă©nergie pour les bĂątiments neufs ou les parties nouvelles de bĂątiments ; 2° Pour les logements visĂ©s au 1° et au 2° de l'article R. 31-10-3-3 du code de la construction et de l'habitation, d'une attestation conforme au modĂšle figurant en annexe XII ; justificatifs a posteriori mentionnĂ©s au I s'entendent 1° Pour les logements visĂ©s au a du 1° de l'article R. 31-10-3-2 du code de la construction et de l'habitation, du certificat mentionnant l'attribution du label, dĂ©livrĂ© par un organisme de certification selon les critĂšres et dans les conditions fixĂ©es par l'arrĂȘtĂ© du 3 mai 2007 susvisĂ© ; 2° Pour les logements visĂ©s au b du 1° du mĂȘme article, de l'attestation Ă  Ă©tablir Ă  l'achĂšvement des travaux pour les bĂątiments neufs ou parties nouvelles de bĂątiment, mentionnĂ©e Ă  l'article 6 de l'arrĂȘtĂ© du 11 octobre 2011 susmentionnĂ© ; 3° Pour les logements visĂ©s au 1° et au 2° de l'article R. 31-10-3-3 du code de la construction et de l'habitation, d'une attestation conforme au modĂšle figurant en annexe XIII. justifier de la dĂ©rogation Ă  la condition de performance Ă©nergĂ©tique mentionnĂ©e Ă  l'article L. 31-10-2 du code de la construction et de l'habitation, l'emprunteur fournit Ă  l'Ă©tablissement de crĂ©dit le contrat de location-accession conclu dans les conditions prĂ©vues par la loi n° 84-595 du 12 juillet 1984 dĂ©finissant la location-accession Ă  la propriĂ©tĂ© immobiliĂšre et la copie de la dĂ©cision d'agrĂ©ment de l'opĂ©ration prise par le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement avant le 1er janvier 2012, dans les conditions fixĂ©es par les articles R. 331-76-5-1 Ă  R. 331-76-5-4 du mĂȘme code. AccueilDĂ©marches et outilsAttestation sur l'honneur Direction de l'information lĂ©gale et administrative Dila - Premier ministreAccĂ©der au modĂšle de documentVĂ©rifiĂ© le 26 juin 2020 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministrePour toute explication, consulter les fiches pratiques Chacun des parents titulaires de l'autoritĂ© parentale, a strictement les mĂȘmes droits et les mĂȘmes devoirs vis Ă  vis de l'Ă©cole. La fixation de la rĂ©sidence habituelle chez l'un plutĂŽt que l'autre, n'implique aucun privilĂšge. IMPORTANT Pour bien comprendre ce qu'est l'autoritĂ© parentale, pour savoir comment faire tomber la prĂ©somption d'accord pour les actes usuels, et pour avoir une dĂ©finition des actes usuels ou non usuels liĂ©s Ă  l'autoritĂ© parentale, relisez ce billet ICI L'autoritĂ© parentale, les actes usuels et non usuels c'est quoi, et Ă  quoi ça sert lorsqu'on n'a pas la garde de l'enfant ?. Les Ă©tablissements scolaires sont tenus de recueillir l'adresse des deux parents et de donner les mĂȘmes informations aux deux parents, ils doivent envoyer aux deux parents les informations, cela fait partie du travail de l'Ă©tablissement. Il s'agit du carnet de notes mais aussi des lettres pour absence, des convocations, des avis de sortie ou manifestation scolaire, la date de la kermesse, des Ă©lections, ... RĂ©sumĂ© des obligations de l’Education Nationale et modalitĂ©s d’exercice de l’autoritĂ© parentale 1/ le ministĂšre de l'Ă©ducation nationale, constatant certaines "difficultĂ©s de dialogue" entre les Ă©tablissements scolaires et les parents, a fait paraitre en mars 2011 une brochure consacrĂ©e Ă  l'exercice de l'autoritĂ© parentale en milieu scolaire, qui ne fait que rappeler ce qui Ă©tait exposĂ© dans ce billet, mais dont je vous recommande la lecture. Vous pourrez en effet produire cette brochure aux Ă©tablissements scolaires qui bafouent vos droits en ne respectant pas les principes de base qui sont rappelĂ©s - POUR LIRE LA PRÉSENTATION DE CETTE BROCHURE SUR L’AUTORITÉ PARENTALE EN MILIEU SCOLAIRE CLIQUER ICI - POUR TÉLÉCHARGER DIRECTEMENT LE DOCUMENT CLIQUER ICI. 2/ extrait de l'instruction du 15/01/2008 parue dans "Lettr’info n° 11 24/01/2008" rĂ©digĂ© par la Cellule Juridique - Ressources de l'Éducation Nationale, consultable sur le site du ministĂšre de l'Ă©ducation nationale, ICI L’autoritĂ© parentale est l’ensemble des droits et devoirs confĂ©rĂ©s aux parents ayant pour finalitĂ© l’intĂ©rĂȘt de l’enfant jusqu’à sa majoritĂ© ou son Ă©mancipation. L’exercice conjoint de l’autoritĂ© parentale concerne - les parents mariĂ©s - les parents non mariĂ©s l’enfant doit ĂȘtre reconnu par les pĂšre et mĂšre dans l’annĂ©e de sa naissance. Ce principe s’applique Ă©galement aux enfants nĂ©s avant le 07 mars 2002. Si la filiation est Ă©tablie Ă  l’égard d’un parent plus d’un an aprĂšs la naissance de l’enfant dont la filiation a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©tablie Ă  l’égard de l’autre parent, l’autoritĂ© parentale sera exercĂ©e par le premier parent qui aura reconnu l’enfant. Toutefois, elle peut ĂȘtre exercĂ©e en commun en cas de dĂ©claration conjointe des parents devant le greffier en chef du tribunal ou sur dĂ©cision du juge aux affaires familiales. - les parents sĂ©parĂ©s ou divorcĂ©s Cet exercice en commun de l’autoritĂ© parentale donne aux deux parents les mĂȘmes droits et devoirs pour Ă©lever et protĂ©ger leur enfant. L’article 372-2 du Code Civil permet Ă  un parent de faire seul un acte usuel de l’autoritĂ© parentale, l’accord de l’autre parent Ă©tant alors prĂ©sumĂ©. La notion d’actes usuels est dĂ©finie comme tout acte qui ne rompt pas avec le passĂ© ou surtout qui n’engage pas l’avenir de l’enfant ». Attention aux dĂ©cisions Ă©ducatives relatives Ă  l’enfant qui ne SONT PAS DES ACTES USUELS et qui REQUIÈRENT l’accord des deux parents - dossier d’admission en classe de sixiĂšme - dossier d’orientation, par exemple. L’exercice de l’autoritĂ© parentale peut ĂȘtre unilatĂ©rale suite Ă  une dĂ©cision de justice, l’autre parent conservant le droit de surveiller l’entretien et l’éducation il conserve le droit d’ĂȘtre informĂ© et consultĂ© mais ne peut ni dĂ©cider, ni interdire. Dans ce cas de figure, seul le parent dĂ©tenteur de cette autoritĂ© pourra prendre des dĂ©cisions relatives Ă  l’enfant. Quelle conduite Ă  tenir en cas de sĂ©paration ou de divorce ou lorsque l’enfant a Ă©tĂ© confiĂ© Ă  un tiers suite Ă  une dĂ©cision de justice ? Situations de sĂ©paration – divorce Les personnels de l’Education Nationale appliqueront leur devoir de rĂ©serve et se garderont d’établir une attestation qui porterait un jugement sur les consĂ©quences de la sĂ©paration. Dans l’attente d’une dĂ©cision de justice, ils devront considĂ©rer la situation familiale comme inchangĂ©e. DĂšs lors qu’ils auront connaissance des dispositions prises par le juge aux affaires familiales prĂ©cisĂ©es dans l’ordonnance de non-conciliation ou le jugement de divorce, ils devront appliquer strictement cette dĂ©cision. Si un changement devait intervenir, ils attendront d’avoir connaissance des nouvelles mesures du juge pour ensuite les appliquer. Enfant confiĂ© Ă  un tiers suite Ă  une dĂ©cision de justice Cette personne accomplit tous les actes usuels relatifs Ă  sa surveillance et Ă  son Ă©ducation, l’autoritĂ© parentale Ă©tant toujours exercĂ©e par les parents, ils restent responsables des choix relatifs Ă  la scolaritĂ© de leur enfant. Les chefs d’établissements et les directeurs d’école apporteront une attention toute particuliĂšre Ă  la constitution des dossiers scolaires des Ă©lĂšves en s’assurant d’avoir toutes les informations les concernant ainsi que celles de leur parents d’oĂč l’importance de recueillir l’adresse du parent qui n’a pas la garde de l’enfant ou des parents lorsque l’élĂšve sera confiĂ© Ă  un tiers. Vous n’hĂ©siterez pas Ă  demander des justificatifs livret de famille, ordonnance de non-conciliation, jugement de divorce, ordonnance du juge aux affaires familiales, jugement relatif Ă  prise en charge de l’enfant par un tiers, etc. ConformĂ©ment aux textes rĂ©glementaires, l’Education Nationale doit entretenir avec chacun des parents des relations de mĂȘme nature - Les deux parents seront donc invitĂ©s Ă  participer aux rĂ©unions organisĂ©es par l’établissement - Les deux parents seront tenus rĂ©guliĂšrement informĂ©s des rĂ©sultats et du comportement scolaire de leurs enfants notamment par le biais du carnet de correspondance, du livret scolaire dans le premier degrĂ© ou du bulletin scolaire dans le second degrĂ©. Au niveau de la maternelle, les directeurs pourront inviter le parent chez qui l’enfant ne rĂ©side pas Ă  venir voir les travaux rĂ©alisĂ©s Ă  l’école - Le directeur d’école, le chef d’établissement veilleront Ă  ce qu’une rĂ©ponse soit donnĂ©e aux demandes d’information et d’entrevue prĂ©sentĂ©es par les parents. Les rĂ©ponses nĂ©gatives seront motivĂ©es - Les deux parents seront Ă©galement invitĂ©s Ă  rĂ©pondre aux demandes de l’équipe Ă©ducative dans l’intĂ©rĂȘt de l’enfant - Les deux parents seront destinataires de tous les documents relatifs au fonctionnement et Ă  la vie de l’établissement scolaire, de l’activitĂ© des associations de parents d’élĂšves ou encore relatifs Ă  des propositions d’assurance scolaire. Inscription – radiation d’un Ă©lĂšve ConformĂ©ment aux termes de l’article 372-2 du Code Civil chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l’accord de l’autre, quand il fait seul un acte usuel de l’autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l’enfant », dĂšs lors ● le parent chez lequel le juge a fixĂ© la rĂ©sidence peut inscrire seul l’enfant dans l’établissement scolaire public de son secteur. Cependant, l’accord de l’autre parent sera obligatoire - pour une demande de dĂ©rogation de secteur - l’inscription de l’enfant dans un Ă©tablissement privĂ© - pour l’instruction de l’enfant Ă  domicile. ● En cas de dĂ©mĂ©nagement, le parent qui a la garde de l’enfant peut demander seul un certificat de radiation. Il en est de mĂȘme pour les situations oĂč l’élĂšve a Ă©tĂ© confiĂ© Ă  un tiers. En cas de dĂ©saccord entre les parents ou parents-tiers dont l’Administration aura connaissance, les chefs d’établissements et directeurs d’école attendront les mesures prises par le juge aux affaires familiales pour les appliquer. Danielle THIRIOT – Cellule Juridique - Ressources Textes de rĂ©fĂ©rence Loi n° 2002-305 du 04 mars 2002 relative Ă  l’autoritĂ© parentale DĂ©cret n° 2006-935 du 28 juillet 2006 Circulaire n° 2006-137 du 25 aoĂ»t 2006 Article 372-2 du Code Civil Les principes gĂ©nĂ©raux de l’exercice de l’autoritĂ© parentale pourront ĂȘtre trouvĂ©s dans la LETTR’INFO n° 03 annĂ©e 2006-2007 – Rubrique Cas d’Ecole »I Lettre type Ă  envoyer par LRAR Ă  l'Ă©cole pour faire valoir vos droits voir en fin de ce courrier type, quelques prĂ©cisions relatives au destinataire de ce courrier 1 Le modĂšle de lettre Ă  envoyer Ă  l'Ă©tablissement scolaire M. XXXX XX Rue de XXXX XXXXX XXXXX TĂ©l. XXXXX le XX/XX/200X Par LRAR 2 pages recto A l'attention de Ecole XXXXXX Objet en ma qualitĂ© de parent titulaire de l'autoritĂ© parentale sur l'enfant XXXXX, et n'Ă©tant Ă  ce jour destinataire d'aucune information sur le suivi scolaire, je demande formellement - communication de toutes informations scolaires et mĂ©dicales relatives Ă  mon enfant, - je vous fais part de mon opposition Ă  toute radiation de mon enfant qui serait demandĂ©e sans mon accord par mon ex conjoint, - et je vous informe que conformĂ©ment Ă  l'art. 372-2 du Code civil, je rĂ©fute la prĂ©somption d'accord concernant les actes usuels liĂ©s Ă  l'exercice de l'autoritĂ© parentale. M. le Directeur, Mme la Directrice, Je m'adresse Ă  vous en qualitĂ© de parent titulaire de l'autoritĂ© parentale sur l'enfant XXXX nĂ© le XX XX XX Ă  XXXX. Mon enfant est scolarisĂ© actuellement dans votre Ă©tablissement, dans la classe de ZZZZZ. Ne recevant presqu'aucune information, je me vois contraint de vous exprimer formellement plusieurs demandes dans l'intĂ©rĂȘt du suivi scolaire de XXXXX. Je regrette par avance si ces demandes vous paraissaient contraignantes, mais elles me semblent lĂ©gitimes et sont fondĂ©es sur les textes de loi et les analyses du service juridique du MinistĂšre de l'Éducation Nationale. Sans trop rentrer dans des considĂ©rations personnelles, je me dois de vous informer que bien que sĂ©parĂ©, je dispose de l'autoritĂ© parentale au mĂȘme titre que mon ex conjoint, ce qui me confĂšre des droits et devoirs envers mon enfant. A[ Mettre cette premiĂšre partie Ă©ventuellement si on veut que pour chaque dĂ©cision l'Ă©cole nous informe mais cela "alourdit" beaucoup les relations avec l'Ă©cole et avec son ex. Lorsqu'on fait cette demande, il faut se prĂ©parer Ă  devoir expliquer au JAF pourquoi on en est arrivĂ© Ă  ce stade d'absence de communication et de non entente avec son ex ] Le prĂ©sent courrier a d'abord pour objet de vous indiquer que vous devez dĂ©sormais considĂ©rer que YYY, pĂšre ou mĂšre des enfants agirait sans mon accord si elle prenait seule des dĂ©cisions relatives aux actes usuels de l'autoritĂ© parentale. En consĂ©quence, vous devez considĂ©rer conformĂ©ment Ă  l'art. 372-2 du Code civil, qu'Ă  compter de la rĂ©ception de la prĂ©sente lettre, il n'existe PAS de prĂ©somption d'accord entre Mme XX et moi mĂȘme, en ce qui concerne les actes usuels de l'autoritĂ© parentale. Il en dĂ©coule qu'aussi bien en ce qui concerne les actes usuels, que non usuels, relevant de l'autoritĂ© parentale relative aux enfants, je devrai ĂȘtre consultĂ© et donner mon accord au mĂȘme titre que Mme XX, pour qu'une dĂ©cision soit prise. En consĂ©quence vous veillerez Ă  recueillir non seulement l'autorisation de mon ex-conjoint, mais aussi ma propre autorisation signĂ©e pour tout acte, mĂȘme usuel, relatif Ă  l'enfant. B Ce courrier a aussi pour objet de vous faire part de mon opposition Ă  la dĂ©scolarisation Ă©ventuelle de XXXX. En effet, je vous rappelle qu'au vu des textes et des instructions de votre propre MinistĂšre, en raison de l'opposition entre mon ex conjoint et moi mĂȘme, XXXX devra rester inscrit sauf Ă  ce qu'une dĂ©cision de justice statue sur ce dĂ©saccord liĂ© Ă  l'exercice conjoint de l'autoritĂ© parentale. Il est en effet totalement erronĂ© de penser que le parent ayant la rĂ©sidence principale de l'enfant improprement qualifiĂ© de "parent gardien" serait en mesure de prendre seul les dĂ©cisions relatives Ă  notre enfant. A ce sujet, le service juridique de l'Éducation Nationale prĂ©conise clairement la conduite que les Ă©tablissements scolaires doivent adopter dans de telles situations cf analyse de la Cellule Juridique du MinistĂšre de l'Éducation Nationale en date du 15/01/2008, instruction parue dans "Lettr’info n° 11 du 24/01/2008 En cas de dĂ©saccord entre les parents ou parents-tiers dont l’Administration aura connaissance, les chefs d’établissements et directeurs d’école attendront les mesures prises par le juge aux affaires familiales pour les appliquer ». Je vous demande donc expressĂ©ment de refuser de donner suite Ă  toute demande visant la radiation de XXXX de votre Ă©tablissement et vous informe que votre Ă©tablissement engagerait sa responsabilitĂ© si vous passiez outre ma demande lĂ©gitime et qui a pour unique but de veiller Ă  l'intĂ©rĂȘt de mon enfant XXXX. Je dĂ©plore cette situation, mais le comportement de mon ex conjoint, qui ne m'informe de rien sur la vie scolaire de XXXX, m'oblige Ă  vous apporter cette prĂ©cision. C Enfin et surtout, le prĂ©sent courrier a pour objet de vous indiquer que, dans l'intĂ©rĂȘt de mon fils XXXX, je souhaite qu'une bonne et complĂšte communication s'instaure avec votre Ă©tablissement. Ainsi, conformĂ©ment aux dispositions suivantes - la loi n°20002-305 du 4 mars 2002 relative Ă  l'autoritĂ© parentale, aux dispositions du Code civil modifiĂ©, - la Circulaire n°94-149 du 13 avril 1994 relative au contrĂŽle et Ă  la scolaritĂ© des enfants naturels et lĂ©gitimes, - l'instruction relative Ă  la transmission des rĂ©sultats scolaires, adressĂ©e au recteur d'acadĂ©mie par le Ministre dĂ©lĂ©guĂ© chargĂ©e de l'Enseignement scolaire le 13 octobre 1999 BO n°38 du 28 octobre 1999, - le DĂ©cret n° 2006-935 du 28 juillet 2006 relatif aux parents d'Ă©lĂšves, aux associations de parents d'Ă©lĂšves et aux reprĂ©sentants des parents d'Ă©lĂšves et modifiant le code de l'Ă©ducation, - la Circulaire n° 2006-137 du 25 aoĂ»t 2006 relative au rĂŽle et Ă  la place des parents Ă  l'Ă©cole, - l'instruction "Obligations de l’Education Nationale et modalitĂ©s d’exercice de l’autoritĂ© parentale" Ă©manant de la Cellule Juridique du MinistĂšre de l'Education Nationale en date du 15/01/2008 parue dans "Lettr’info n° 11 du 24/01/2008, consultable - les dispositions explicitĂ©es sur le site internet du MinistĂšre "Eduscol", relativement Ă  l'autoritĂ© parentale et la conduite Ă  tenir par les Ă©tablissements scolaires, Ă  l'adresse - le rappel le 16/03/2011 par le ministĂšre de l'Education Nationale des principes liĂ©s Ă  l'exercice de l'autoritĂ© parentale en milieu scolaire Je vous serais trĂšs obligĂ© de bien vouloir me faire parvenir suffisamment Ă  l'avance et Ă  mon adresse figurant en tĂȘte de la prĂ©sente, l'intĂ©gralitĂ© des informations relatives Ă  la vie scolaire de mon enfant XXXXX. Il faut entendre par lĂ  notamment, pour mĂ©moire 1 L'emploi du temps indiquant en particulier - les horaires, - les samedis oĂč il n'y a pas classe, - les options Ă©ventuelles et activitĂ©s connexes de XXXXX dans le cadre de l'Ă©cole sport, sorties, activitĂ©s diverses, sorties, rĂ©unions etc, 2 En cas d'absence de XXXXXX copie des bulletins d'absences et des justificatifs fournis dans les meilleurs dĂ©lais; 3 Chaque trimestre copie des bulletins scolaires annotĂ©s dĂšs leur Ă©tablissement; 4 A l'avance - les jours de classe exceptionnellement supprimĂ©s par rapport Ă  l'emploi du temps initial ou transformĂ©s, - les fĂȘtes scolaires, les classes de neige, grĂšves, etc. ; 5 Copie systĂ©matique et complĂšte de la totalitĂ© des documents adressĂ©s ou communiquĂ©s aux parents d'Ă©lĂšves, ceci dans un dĂ©lai suffisant pour que la communication soit efficace; communication des dates de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et de l'Ă©lection des membres de l'association de parents d'Ă©lĂšve 6 L'Ă©tat des assurances scolaires - nature des couvertures, - nom de l'organisme; 7 Copie des rapports d'examens mĂ©dicaux ou Ă©ventuellement psychologiques, de soins ou d'actions mĂ©dicales Ă  l'Ă©cole sur ce point je prĂ©cise que les article et du code de la santĂ© publique me confĂšrent expressĂ©ment le droit d'obtenir ces informations et copies de documents du dossier mĂ©dical ; 8 Inscription Ă  la cantine scolaire coĂ»t, frĂ©quentation; 9 Participation Ă©ventuelle aux Ă©tudes de fin d'aprĂšs-midi ... jours et heures; 10 Copie intĂ©grale des documents concernant l'inscription de XXXX Ă  l'Ă©cole 11 communication de la date de prise de la photo de classe et des documents nĂ©cessaires Ă  son acquisition Votre concours me permettra d'avoir une complĂšte comprĂ©hension de la situation scolaire de XXXX, ce dont je vous remercie par avance. Je suis particuliĂšrement prĂ©occupĂ© par l'Ă©tat de santĂ© physique et psychique de XXXXX, je vous remercie donc de m'informer complĂštement des observations du mĂ©decin scolaire sur ce point, et de me communiquer ses coordonnĂ©es. Cependant, je n'autorise pas qu'un psychologue scolaire examine mon enfant, ni ne divulgue un quelconque rapport, sans que mon accord expresse soit obtenu, aprĂšs m'avoir exposĂ© les raisons qui rendraient nĂ©cessaire une telle consultation. Je me tiens Ă  votre entiĂšre disposition pour toute question ou prĂ©cision que vous voudriez que j'apporte en complĂ©ment de ce courrier. Veuillez agrĂ©er, Madame ou Monsieur le Directeur, l'expression de ma considĂ©ration distinguĂ©e. XXX , parent de XXXX ZZ 2 A qui au sein de l'Ă©tablissement scolaire, adresser ce courrier ? Cette lettre doit ĂȘtre envoyĂ©e au Directeur de l'Ă©tablissement scolaire, charge Ă  lui de transmettre Ă  sa hiĂ©rarchie s'il le souhaite. Si cependant vous voulez aussi envoyer copie de ce courrier - pour une Ă©cole publique envoyez la copie Ă  l'inspecteur dĂ©partemental de l'Ă©ducation nationale - pour une Ă©cole privĂ©e envoyez la copie au diocĂšse dĂ©partemental. a la mauvaise foi de certains Ă©tablissements scolaires ou de certaines acadĂ©mies qui bafouent la loi sous prĂ©texte que la copie de ce courrier aurait Ă©tĂ© adressĂ©e au mauvais interlocuteur Il m'a Ă©tĂ© signalĂ© qu'un parent sĂ©parĂ© qui avait adressĂ© cette lettre type Ă  la directrice de l'Ă©tablissement scolaire de ses enfants ainsi que la copie Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, s'est vu rĂ©pondre que la lettre n'avait pas Ă©tĂ© retenue Ă  l'AcadĂ©mie au motif que l'interlocuteur est l'inspecteur de l'Ă©ducation nationale dĂ©partemental dont dĂ©pend l'Ă©tablissement scolaire. b la solution Ce qui a Ă©tĂ© rĂ©pondu Ă  ce parent est de pure mauvaise foi Certes, la copie de ce courrier courrier qui est adressĂ© en premier lieu au Directeur de l'Ă©tablissement scolaire doit de prĂ©fĂ©rence ĂȘtre adressĂ©e Ă  l'inspecteur dĂ©partemental de l'Ă©ducation nationale, mais de toute façon, Ă  partir du moment oĂč la directrice de l'Ă©cole et l'inspecteur d'acadĂ©mie Ă©taient informĂ©s, on ne peut que considĂ©rer que TOUS les intervenants "scolaires" sont pleinement informĂ©s, d'autant plus que mĂȘme Ă  supposer le courrier adressĂ© au "mauvais" service ou interlocuteur, pour autant la loi du 12 avril 2000 sur les droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations, oblige l’administration Ă  transmettre elle-mĂȘme les demandes mal dirigĂ©es aux services compĂ©tents cf. Loi n°2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations "Article 20 Lorsqu'une demande est adressĂ©e Ă  une autoritĂ© administrative incompĂ©tente, cette derniĂšre la transmet Ă  l'autoritĂ© administrative compĂ©tente et en avise l'intĂ©ressĂ©." Donc au cas oĂč vous recevriez ce type de rĂ©ponses, ne vous faites pas avoir et n'hĂ©sitez pas Ă  adresser un courrier au Ministre de l'Éducation Nationale pour l'informer de ces Ă©lĂ©ments, qui dĂ©montrent que la loi rĂ©publicaine n'est pas appliquĂ©e au sein de l'Éducation Nationale, notamment par l'Ă©cole et l'acadĂ©mie Au cas oĂč malgrĂ© tout, l'Ă©cole ne respecterait pas vos droits - Vous pouvez saisir l'Inspecteur d'acadĂ©mie dont vous trouverez les coordonnĂ©es et le mail ICI mais dans plusieurs exemples concrets il prenait systĂ©matiquement la dĂ©fense du Directeur de l'Ă©cole malgrĂ© l'exposĂ© des textes lĂ©gaux ! - Vous pouvez aussi saisir les mĂ©diateurs de l'Ă©ducation nationale, coordonnĂ©es ICI - Il y aussi un mĂ©diateur national qui peut ĂȘtre saisi au cas oĂč... - Vous pouvez bien sur adresser un courrier au MinistĂšre de l'Education Nationale afin de l'informer de tout problĂšme site du MinistĂšre le Ministre / Son adresse M. le Ministre, MinistĂšre de l'Education Nationale, 110 r Grenelle 75007 PARIS, tel 01 55 55 10 10 - Si votre problĂšme est grave, vous pouvez mĂȘme Ă©crire au Premier Ministre M. Le Premier ministre HĂŽtel de Matignon 57, rue de Varenne 75700 Paris - ou en cas de trĂšs grosse difficultĂ©, Ă  M. le PrĂ©sident de la RĂ©publique ou par voie postale le courrier est alors dispensĂ© d'affranchissement, Ă  l'adresse suivante Monsieur le PrĂ©sident de la RĂ©publique Palais de l'ElysĂ©e 55, rue du faubourg Saint-HonorĂ© 75008 Paris - Vous pouvez aussi Ă©ventuellement leur envoyer la lettre type utilisĂ©e par CĂ©dric Fleurigeon " Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Vous n'ĂȘtes pas sans savoir qu'au jour d'aujourd'hui encore, il apparait assez largement que de plus en plus de couple se sĂ©parent, que les enfants de parents divorcĂ©s tiennent une part importante et non nĂ©gligeables dans les Ă©tablissements scolaires. Or nombre de parents, n'ayant pas la rĂ©sidence principale ne sont pas informĂ©s de la scolaritĂ© de leur enfant, certains Ă©tablissements ne prenant mĂȘme pas la peine de rechercher qu'elle est la situation des parents , et mĂȘme en le sachant, ne suivent aucune communication avec le parent n'ayant pas la rĂ©sidence principale. Des situations plus ou moins complexes de la sĂ©paration du couple, il ressurgit que certains parents ne savent mĂȘme pas oĂč se trouve scolarisĂ© leur enfant il suffit de voir le nombre annuel de recherches d'enfants transmises par les acadĂ©mies aux Ă©tablissements scolaires, certains ne reçoivent aucune rĂ©ponse concernant le suivi de la scolaritĂ© de leur enfant, et ce, malgrĂ© plusieurs demandes. Ainsi ce courrier a pour objet de rappeler les obligations faites aux Ă©tablissements scolaires vis Ă  vis de chacun des parents sur la base de textes de lois, de dĂ©crets et de circulaires, ainsi qu'un rappel concernant la dĂ©finition des actes usuels et non usuels les exemples Ă©tant collectĂ©s sur la base de lettres Ă©manant de diffĂ©rentes acadĂ©mies. Les textes dĂ©finissant les relations entre les parents et l'Ă©ducation nationale sont la circulaire n° 94-149 du 13 avril 1994 Obligation scolaire - ContrĂŽle de la scolaritĂ© des enfants naturels ou lĂ©gitimes par leurs parents n° 16 du 21 avril 1994, la Circulaire n°94-149 du 13 avril 1994 relative au contrĂŽle et Ă  la scolaritĂ© des enfants naturels et lĂ©gitimes, la lettre du 13 octobre 1999 NOR SCOE9902340Y - BO n o 38 du 28 octobre 1999 , la loi n°20002-305 du 4 mars 2002 relative Ă  l'autoritĂ© parentale, aux dispositions du Code civil modifiĂ©, le DĂ©cret n°2006-935 du 28 juillet 2006 relatif aux parents d'Ă©lĂšves, aux associations de parents d'Ă©lĂšves et aux reprĂ©sentants des parents d'Ă©lĂšves et modifiant le code de l'Ă©ducation, la circulaire n°2006-137 du 25 aoĂ»t 2006 relative au rĂŽle et Ă  la place des parents Ă  l'Ă©cole. Les parents doivent ĂȘtre tenus informĂ©s des rĂ©sultats et du comportement scolaires de leurs enfants notamment par l'intermĂ©diaire du livret scolaire dans le premier degrĂ© ou du bulletin scolaire dans le second degrĂ© sans exiger une demande prĂ©alable du parent chez lequel l'enfant ne rĂ©side pas, il en va de mĂȘme pour les courriers concernant l’absentĂ©isme, les sanctions disciplinaires, etc . De mĂȘme pour les copies des rapports d'examens mĂ©dicaux ou Ă©ventuellement psychologiques, de soins ou d'actions mĂ©dicales Ă  l'Ă©cole articles et du code de la santĂ© publique qui confĂšrent expressĂ©ment le droit d'obtenir ces informations et copies de documents du dossier mĂ©dical ; Il est donc nĂ©cessaire de recueillir au moment de l'inscription, puis Ă  chaque rentrĂ©e scolaire, les coordonnĂ©es adresse et tĂ©lĂ©phone des deux parents. En cas de difficultĂ© Ă  recueillir l'adresse des deux parents ou sur des situations particuliĂšrement complexes, il conviendra de prendre l'attache des services juridiques du rectorat ou de l'administration centrale. L'Ă©cole ou l'Ă©tablissement scolaire prend toute mesure adaptĂ©e pour que les parents prennent connaissance de ces documents. Ce devoirs d'information ne souffre d'aucune exception puisque mĂȘme dans le cas d'un exercice unilatĂ©ral de l'autoritĂ© parentale, le parent dĂ©chu de l'autoritĂ© parentale concerne un droit et un devoir de regard article 373-2-1 du code civil qui s’analyse comme le droit d’ĂȘtre informĂ©, d’ĂȘtre consultĂ© et de proposer mais en aucun cas en un droit d’exiger ou d’interdire qui reste un attribut exclusif de l’autoritĂ© parentale. Il appartient aux chefs d'Ă©tablissements de demander tout document lui permettant de prendre connaissance de la situation et des droits des parents, parfois mĂȘme de l'existence de ceux ci, Ă  savoir le livret de famille, l'ordonnance de non conciliation ou le jugement, copie des piĂšces d'identitĂ© des deux parents en cours de validitĂ©, etc.. Il convient Ă©galement de rappeler que selon article 371-1 du code civil loi du 4 mars 2002 L’autoritĂ© parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalitĂ© l’intĂ©rĂȘt de l’enfant » Elle appartient aux pĂšre et mĂšre jusqu’à la majoritĂ© ou l’émancipation de l’enfant pour le protĂ©ger dans sa sĂ©curitĂ©, sa santĂ© et sa moralitĂ© pour assurer son Ă©ducation et permettre son dĂ©veloppement, dans le respect dĂ» Ă  sa personne. Les parents associent l’enfant aux dĂ©cisions qui le concernent selon son Ăąge et son degrĂ© de maturitĂ©. Également que, en application des dispositions de l’article 372-2 du code civil, Ă  l’égard des tiers de bonne foi, chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l’accord de l’autre, quand il fait seul un acte usuel de l’autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l’enfant ». Ainsi pour les actes non usuels la nĂ©cessitĂ© d'obtenir l'autorisation des deux parents doit ĂȘtre respectĂ©e. La notion d’actes usuels, dits de gestion courante, est dĂ©finie comme Ă©tant "tout acte qui ne rompt pas avec le passĂ© ou surtout qui n’engage pas l’avenir de l’enfant". Ainsi, il n’appartient pas Ă  un chef d’établissement ou Ă  un directeur d’école de surseoir Ă  une dĂ©cision pouvant ĂȘtre prise au vu de l’autorisation donnĂ©e par un seul des parents. Dans le cas oĂč un parent est seul Ă  ĂȘtre dĂ©tenteur de l’autoritĂ© parentale l’autre n’ayant pas reconnu l’enfant ou s’étant vu, par jugement, totalement retirer son autoritĂ© parentale c’est Ă  lui qu’il appartient de justifier auprĂšs du chef d’établissement ou du directeur d’école de cette situation exceptionnelle. Ne peuvent et ne doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme actes usuels dossier d'admission en classe de sixiĂšme, dossier d'orientation, demande de dĂ©rogation de secteur, inscription dans un Ă©tablissement privĂ©, choix de la religion et de l'enseignement religieux, choix de l'instruction Ă  domicile, participation Ă  un voyage scolaire, bilan par le psychologue scolaire, choix des langues, etc.. En cas de dĂ©saccord entre les parents ou parents-tiers dont l’administration aura connaissance, les chefs d’établissements et directeurs d’école attendront les mesures prises par le juge aux affaires familiales pour les appliquer. Il est important d’observer un strict respect du principe de neutralitĂ©, sans prendre parti pour l’un ou l’autre parent. Il est donc Ă  ajouter que dans le cadre de votre exercice professionnel, vous n’avez pas l’obligation de dĂ©livrer d’attestation Ă  l’un ou l’autre des parents ou Ă  leurs avocats. Dans le cadre d’une procĂ©dure civile, la production d’attestations par des tiers n’est obligatoire que si elle est requise par le juge, Ă  l’instar de l’audition. » Articles 200 et 206 du code de procĂ©dure civile. En effet, la dĂ©livrance d’une attestation n’est pas un acte anodin puisqu’elle est destinĂ©e Ă  ĂȘtre produite en justice, que le juge peut procĂ©der Ă  l’audition de son auteur et que celui –ci peut ĂȘtre sanctionnĂ© en cas de fausse attestation. Par ailleurs, l’attestation engage personnellement son auteur. Les seules attestations, qui peuvent ĂȘtre dĂ©livrĂ©es, sont celles qui reflĂštent objectivement et de façon chiffrĂ©e l’assiduitĂ© ou les rĂ©sultats scolaires. Pour tout renseignement complĂ©mentaire ou pour toute question vous pouvez me joindre aux coordonnĂ©es inscrites en entĂȘte du prĂ©sent courrier ou vous rapprocher du service juridique de l'acadĂ©mie. "III Vous pouvez aussi saisir le Tribunal administratif, qui les obligera Ă  respecter vos droits, comme le montre cet exemple A Un papa qui n'avait pas l'autoritĂ© parentale, demandait Ă  avoir copie des bulletins scolaires de sa fille. L'Ă©cole refusait, l'inspecteur d'acadĂ©mie aussi. Ce papa a obtenu gain de cause en allant devant le Tribunal Administratif Le tribunal administratif de Nice le 22 Juin 2004 a condamnĂ© l'Inspecteur de l'acadĂ©mie pour avoir refusĂ© Ă  un pĂšre copie des rĂ©sultats scolaires de sa fille. Il a enjoint au recteur de l'acadĂ©mie de Nice de communiquer au pĂšre dans le dĂ©lai de un mois Ă  compter de la notification, une copie des bulletins scolaires et du livret scolaire. Le juge du tribunal administratif a considĂ©rĂ© que les documents concernant les rĂ©sultats scolaires, ont un caractĂšre de document administratifs communicables, l'enfant Ă©tant mineur, que le pĂšre compte tenu des dispositions de l'article 373-2-1 du code civil doit ĂȘtre regardĂ© comme "intĂ©ressĂ©" au sens des dispositions de l'article 6 de la loi du 17 Juillet 1978, nonobstant la circonstance que le JAF du TGI de Nice ait par ordonnance confiĂ© l'autoritĂ© parentale exclusivement Ă  la mĂšre. » Donc ne vous laissez pas faire si l'Ă©cole ne respecte pas vos droits Ă©lĂ©mentaires, exercez les recours indiquĂ©s, Ă©crivez mĂȘme au Ministre de l'Ă©ducation nationale, et allez devant le Tribunal administratif si rien ne bouge. B Comment saisir le Tribunal administratif TA en rĂ©fĂ©rĂ© suspension, si l'Ă©cole dĂ©scolarise vos enfants alors que vous aviez signifiĂ© expressĂ©ment votre dĂ©saccord modĂšle de saisine Pour que le rĂ©fĂ©rĂ© devant le TA soit admis, il faudra avant tout bien dĂ©montrer l'urgence, c'est Ă  dire faire Ă©tat des Ă©lĂ©ments montrant qu'il existe une atteinte grave Ă  votre situation ou Ă  vos intĂ©rĂȘts, notamment au regard de l’éducation des enfants, qui est grave et immĂ©diate, et de nature en consĂ©quence Ă  justifier que l’exĂ©cution de la dĂ©cision de radiation de l'Ă©cole soit immĂ©diatement suspendue. Il a Ă©tĂ© jugĂ© par un TA que "...l’urgence justifie que soit prononcĂ©e la suspension d’un acte administratif lorsque l’exĂ©cution de celui-ci porte atteinte, de maniĂšre suffisamment grave et immĂ©diate, Ă  un intĂ©rĂȘt public, Ă  la situation du requĂ©rant ou aux intĂ©rĂȘts qu’il entend dĂ©fendre ; qu’il appartient au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s d’apprĂ©cier concrĂštement, compte tenu des justifications fournies par le requĂ©rant, si les effets de l’acte litigieux sont de nature Ă  caractĂ©riser une urgence justifiant que, sans attendre le jugement de la requĂȘte au fond, l’exĂ©cution de la dĂ©cision soit suspendue. ConcrĂštement il faudra rĂ©diger - une requĂȘte de "rĂ©fĂ©rĂ© suspension" et joindre Ă  cette requĂȘte les piĂšces justificatives dont la copie de votre recours devant le TA sur le fond de l'affaire contre la dĂ©cision attaquĂ©e - une requĂȘte de saisine du TA sur le fond, en annulation de la dĂ©cision cette requĂȘte ressemblera fort Ă  la requĂȘte de rĂ©fĂ©rĂ©, mais se contentera de dĂ©montrer l'illĂ©galitĂ© de la dĂ©cision attaquĂ©e sans parler de l'urgence Les PiĂšces Ă  joindre Ă  la requĂȘte - une copie de la dĂ©cision attaquĂ©e, - une copie de la requĂȘte sur le fond devant le TA - toutes les piĂšces justificatives utiles de produire, notamment toutes celles Ă©voquĂ©es dans la requĂȘte. L'ensemble de ces piĂšces doit ĂȘtre adressĂ© au tribunal en autant d'exemplaire qu'il y a de partie Ă  l'affaire, augmentĂ© de 2. A dĂ©faut, la requĂȘte n'est pas recevable. C MODÈLE DE REQUÊTE EN RÉFÉRÉ DEVANT LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF REQUÊTE DEVANT MADAME OU MONSIEUR LE JUGE DES RÉFÉRÉS PRES LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE xxx Monsieur A, nĂ© le xxxxx Ă  xxx , de nationalitĂ© française, demeurant xx Rue xx , A l'honneur de vous exposer il rĂ©sulte des dispositions de l’article L. 521-1 du code de justice administrative Quand une dĂ©cision administrative mĂȘme de rejet fait l’objet d’une requĂȘte en annulation ou en rĂ©formation, le Juge des RĂ©fĂ©rĂ©s saisi d’une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l’exĂ©cution de cette dĂ©cision, ou de certains de ses effets lorsque l’urgence le justifie et qu’il est fait Ă©tat d’un moyen propre Ă  crĂ©er, en l’état de l’instruction, un doute sĂ©rieux quant Ă  la lĂ©galitĂ© de la dĂ©cision. Lorsque la suspension est prononcĂ©e, il est statuĂ© sur la requĂȘte en annulation ou en rĂ©formation de la dĂ©cision dans les meilleurs dĂ©lais. La suspension prend fin au plus tard lorsqu’il est statuĂ© sur la requĂȘte en annulation ou en rĂ©formation de la dĂ©cision. » Par ailleurs, l’article L522-1 du mĂȘme code prĂ©cise que Le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s statue aux termes d’une procĂ©dure contradictoire Ă©crite ou orale. » 1/ ExposĂ© des faits -exposez que vous avez l'autoritĂ© parentale conjointe joindre la copie des derniĂšres pages dĂ©cision JAF= le dispositif du jugement, - expliquer que pour Ă©viter aux enfants une dĂ©scolarisation contraire Ă  leur intĂ©ret, vous avez manifestĂ© expressĂ©ment votre dĂ©saccord en cas de radiation demandĂ©e unilatĂ©ralement par votre par ex conjoint, et ce par lettre recommandĂ©e avec AR adressĂ©e Ă  l'Ă©tablissement scolaire le XXX + copie - exposer que que malgrĂ© votre demande expresse, cet Ă©tablissement n'a pas donnĂ© suite, ce qui cause un prĂ©judice trĂšs important aux enfants - produisez copie de la dĂ©cision attaquĂ©e ou exposez que c'est un refus implicite en l'absence de rĂ©ponse sous un dĂ©lai de 2 mois 2/ DĂ©taillez bien L'URGENCE - exposez que l'intĂ©rĂȘt des enfants est en pĂ©ril, que la dĂ©cision de l'Ă©tablissement scolaire est contraire Ă  l'intĂ©ret des enfants, et que seul le JAF aurait pu Ă©ventuellement autoriser une dĂ©sinscription sur la demande d'un seul des parents, or le JAF n'a pas Ă©tĂ© saisi ce qui traduit que l'Ă©tablissement scolaire a agi au mĂ©pris de l'intĂ©rĂȘt des enfants. Exemple "Il est incontestable que le dĂ©mĂ©nagement des enfants Ă  xxx km du prĂ©cĂ©dent domicile, et alors que les enfants entrent respectivement en xĂšme et en xĂšme, aura de lourdes rĂ©percussions sur ces deniers qui vont ĂȘtre dĂ©racinĂ©s et perdront leurs repĂšres affectifs et sociaux et alors que Monsieur A s’est formellement opposĂ© Ă  la radiation de leur inscription au CollĂšge J dept oĂč ils Ă©taient scolarisĂ©s depuis l’entrĂ©e en 6Ăšme jusqu’à ce jour, Ă©tant en outre rappelĂ© qu’ils ont toujours Ă©tĂ© scolarisĂ©s Ă  L depuis la maternelle. Le directeur de l'Ă©tablissement a de fait pris position, favorisant un parent, et outrepassĂ© ses attributions car en tout Ă©tat de cause, seul le Juge aux affaires familiales pouvait se prononcer sur cette question complexe. Devant l’absence de rĂ©ponse de l’Inspecteur d’AcadĂ©mie de dept et de celui de dept saisi par Monsieur A le xx Juillet xxxx au Rectorat de ladite AcadĂ©mie, et considĂ©rant que les Ă©vĂšnements rĂ©cents sont la consĂ©quence de dĂ©cisions administratives manifestement illĂ©gales comme il va l'ĂȘtre explicitĂ©, les enfants et le requĂ©rant subissent par consĂ©quent un trĂšs grave prĂ©judice, l'intĂ©rĂȘt des enfants est trĂšs gravement et dĂšs Ă  prĂ©sent bafouĂ©, et de ce fait le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s constatera l’urgence caractĂ©risĂ©e. 3/ Expliquez que "en plus de l'urgence immĂ©diate, la dĂ©cision attaquĂ©e est manifestement illĂ©gale" Le Juge des RĂ©fĂ©rĂ©s relĂšvera ainsi que la dĂ©cision prise par le principal du collĂšge Z, qui n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  radier les enfants de son Ă©tablissement, tandis que l’Inspecteur d’AcadĂ©mie de xx, par son silence, a autorisĂ© implicitement leur radiation et leur inscription au sein de l’établissement de G, Ă©tait manifestement illĂ©gale puisque Monsieur A avait expressĂ©ment manifestĂ© son dĂ©saccord auprĂšs de ces Ă©tablissements . En effet, si l’article 372-2 du Code civil ModifiĂ© par la loi n° 2002-305 du 4 Mars 2002 – art. 6 JORF 5 Mars 2002 pose une prĂ©somption rĂ©fragable d'accord parental envers les tiers de bonne foi, en l'espĂšce cette prĂ©somption avait Ă©tĂ© dĂ©noncĂ©e expressĂ©ment par courrier du XXX de Monsieur A adressĂ© Ă  l'Ă©tablissement scolaire. En consĂ©quence aucune dĂ©cision ne pouvait ĂȘtre prise valablement sans l'accord expresse de Monsieur A " A l'Ă©gard des tiers de bonne foi, chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l'accord de l'autre, quand il fait seul un acte usuel de l'autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l'enfant." L'article 373-2 du code civil dispose par ailleurs que La sĂ©paration des parents est sans incidence sur les rĂšgles de dĂ©volution de l’exercice de l’autoritĂ© parentale. Chacun des pĂšre et mĂšre doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent. Tout changement de rĂ©sidence de l’un des parents, dĂšs lors qu’il modifie les modalitĂ©s d’exercice de l’autoritĂ© parentale, doit faire l’objet d’une information prĂ©alable et en temps utile de l’autre parent. En cas de dĂ©saccord, le parent le plus diligent saisit le Juge aux Affaires Familiales qui statue selon ce qu’exige l’intĂ©rĂȘt de l’enfant ». Il est donc erronĂ© de penser que le parent ayant la rĂ©sidence principale de l'enfant improprement qualifiĂ© de "parent gardien" serait en mesure de prendre seul les dĂ©cisions relatives Ă  un enfant. A ce sujet, le service juridique de l'Éducation Nationale prĂ©conise clairement la conduite que les Ă©tablissements scolaires doivent adopter dans de telles situations cf analyse de la Cellule Juridique du MinistĂšre de l'Éducation Nationale en date du 15/01/2008, instruction parue dans "Lettr’info n° 11 du 24/01/2008 En cas de dĂ©saccord entre les parents ou parents-tiers dont l’Administration aura connaissance, les chefs d’établissements et directeurs d’école attendront les mesures prises par le juge aux affaires familiales pour les appliquer ». En l'espĂšce, les chefs d’établissements et directeurs d’école de XXX ont violĂ© la loi et les instructions du service juridique de leur propre ministĂšre, car, dument informĂ©s du dĂ©saccord expresse de M. A, ils n'ont cependant pas attendu que le juge aux affaires familiales statue pour prendre des dĂ©cisions extrĂȘmement prĂ©judiciables au requĂ©rant. Il est par ailleurs de jurisprudence constante que les dĂ©cisions prises par un Directeur d’école et l’Inspecteur d’AcadĂ©mie, sont illĂ©gales, lorsque ceux-ci, informĂ©s, d’un litige entre les parents, tous deux dĂ©tenteurs de l’autoritĂ© parentale, quant Ă  la radiation de l’inscription de leurs enfants de l’établissement dans lequel ils sont inscrits et leur inscription dans un nouvel Ă©tablissement, procĂšdent nĂ©anmoins Ă  leur radiation et autorisent l’inscription dans un nouvel Ă©tablissement. Ainsi par exemple Tribunal administratif de MONTPELLIER, 1Ăšre chambre, 1er mars 1995, n°94-1135 " Sur la compĂ©tence de la juridiction administrative ConsidĂ©rant que l'acte par lequel un chef d'Ă©tablissement scolaire procĂšde, Ă  la demande de l'un ou l'autre des parents, Ă  la radiation d'un enfant des listes de son Ă©tablissement constitue une dĂ©cision administrative susceptible, comme telle. d'ĂȘtre soumise au contrĂŽle du juge de l'excĂšs de pouvoir ; que, dĂšs lors, le tribunal de cĂ©ans est compĂ©tent pour connaĂźtre des conclusions de la requĂȘte prĂ©sentĂ©e par M. V____ tendant Ă  l'annulation d'une telle dĂ©cision ; Sur la lĂ©galitĂ© des dĂ©cision attaquĂ©es ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article 372 du code civil "Pendant le mariage, les pĂšre et mĂšre exercent conjointement leur autoritĂ©" ; qu'aux termes de l'article 372-1 du mĂȘme code "Si les pĂšre et mĂšre ne parvenaient pas Ă  s'accorder sur ce qu'exige l'intĂ©rĂȘt de l'enfant, la pratique qu'ils auraient pu suivre prĂ©cĂ©demment dans des occasions semblables leur tiendrait lieu de rĂšgle. A dĂ©faut d'une telle pratique ou en cas de contestation sur son existence ou son bien-fondĂ©, l'Ă©poux le plus diligent pourra saisir le juge des tutelles qui statuera aprĂšs avoir tentĂ© de concilier les parties" ; ConsidĂ©rant que M. V___ demande l'annulation de la dĂ©cision du 2 dĂ©cembre 1993 par laquelle la directrice de l'Ă©cole maternelle a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de sa fille Marguerite des listes de son Ă©tablissement sur la demande de la mĂšre de l'enfant, malgrĂ© son opposition dont il avait fait part par courrier du 18 novembre 1993 ; ConsidĂ©rant qu'en vertu des dispositions sus rappelĂ©es de l'article 372-1 du code civil, il n'appartient qu'au juge des tutelles de statuer sur les litiges pouvant survenir entre les parents dĂ©tenteurs de l'autoritĂ© parentale ; que, dĂšs lors que l'existence d'un tel litige avait Ă©tĂ© portĂ© Ă  sa connaissance, la directrice de l'Ă©cole maternelle "Aiguelongue" ne pouvait, sans commettre d'erreur de droit, accĂ©der Ă  la demande de la mĂšre de l'enfant ; qu'il s'ensuit que la dĂ©cision du 2 dĂ©cembre 1993 par laquelle elle a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de l'enfant Marguerite V___ listes de son Ă©tablissement, ainsi que la dĂ©cision du 8 fĂ©vrier 1994 par laquelle l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'HĂ©rault a rejetĂ© le recours administratif formĂ© par M. V___ sont illĂ©gales et doivent ĂȘtre annulĂ©es ". Pourtant en l'espĂšce le collĂšge de L, informĂ© de l’opposition expresse du pĂšre Ă  une dĂ©sinscription en date du xx Juin, a procĂ©dĂ© Ă  la radiation des enfants le xx Juillet 200x ce que Monsieur A n’apprendra par courrier du collĂšge que le x Septembre Ă  la seule demande de la mĂšre, sans mĂȘme avoir pris la peine de l’en informer. En consĂ©quence, le Juge des RĂ©fĂ©rĂ©s, constatera l’urgence et l’illĂ©galitĂ© des dĂ©cisions prĂ©citĂ©es, et jugera bien fondĂ© Monsieur A Ă  solliciter la suspension de la dĂ©cision de radiation prise par le Principal et le Principal Adjoint du collĂšge J – et celle, implicite de rejet, prise par l’Inspecteur d’AcadĂ©mie de Y et de celui de Z ADRESSE , Ă©tant prĂ©cisĂ© qu’une requĂȘte en annulation est Ă©galement dĂ©posĂ©e par le requĂ©rant, conformĂ©ment aux dispositions de l’article L521-1 du code de justice administratif. En consĂ©quence, il est demandĂ© Ă  Madame ou Monsieur le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s de Vu les dispositions des articles L 521-1, L 522-1 et suivants du Code de Justice Administrative, Vu les dispositions de l’article 372-2 du Code Civil, Vu l’urgence, - SUSPENDRE la dĂ©cision de radiation prise par l'Ă©tablissement scolaire XXX – rue XX et celle, implicite de rejet de Monsieur l’Inspecteur de l’AcadĂ©mie de Y ADRESSE et celui de Z suite au recours introduit par Monsieur A le XX, jusqu’à ce qu’il soit statuĂ© au fond sur la lĂ©galitĂ© de cette dĂ©cision, - DIRE que les enfants C et D resteront inscrits au CollĂšge X, Rue Y, ceux-ci ne pouvant ĂȘtre scolarisĂ©s dans deux Ă©tablissements diffĂ©rents. DÉCLARER la dĂ©cision opposable Ă  Madame ZZZ demeurant prĂ©cĂ©demment xxx et dont l’adresse actuelle est xxx CONDAMNER l'Ă©tablissement scolaire de XX adresse et les Inspecteurs des AcadĂ©mies de Y et Z pris en la personne de l’Etat Ă  verser Ă  Monsieur A X000 € sur le fondement de l’article L 761-1 du Code de Justice Administrative CONDAMNER l'Ă©tablissement scolaire Z et les Inspecteurs des AcadĂ©mies de Y et Z pris en la personne de l’Etat en tous les dĂ©pens SOUS TOUTES RÉSERVES. PiĂšces jointes Ă  la prĂ©sente requĂȘte 1 – Jugement du Juge aux Affaires Familiales du xxx 2 – Courrier recommandĂ© du xx de Monsieur xx Ă  Monsieur xxx Directeur de l'Ă©tablissement scolaire pour notifier le refus de dĂ©sinscription 3 – Copie de la requĂȘte en annulation sur le fond dĂ©posĂ©e devant le Tribunal Administratif 4 - etcIV Les textes dĂ©finissant les droits des parents sĂ©parĂ©s ou non sur le site de l'Education Nationale 1/ ModalitĂ©s d'exercice de l'autoritĂ© parentale et consĂ©quences pour l'Éducation nationale L'autoritĂ© parentale est l'ensemble des droits et devoirs confĂ©rĂ©s aux parents sur la personne de l'enfant mineur et sur ses biens. La loi du 4 mars 2002 a tendu Ă  gĂ©nĂ©raliser l'exercice conjoint de l'autoritĂ© parentale. Aussi, c'est aujourd'hui la situation la plus frĂ©quente, l'exercice de l'autoritĂ© parentale par un seul des parents devenant exceptionnel. Il convient donc, en l'absence d'Ă©lĂ©ments contraires, de considĂ©rer que les parents exercent en commun cette autoritĂ© et donc entretenir avec eux des relations de mĂȘme nature. Le cas Ă©chĂ©ant, c'est le parent exerçant seul l'autoritĂ© parentale qui devra alors en apporter la preuve... 2/ Suivi de la scolaritĂ© des Ă©lĂšves Le suivi de la scolaritĂ© par le pĂšre et la mĂšre L'exercice conjoint de l'autoritĂ© parentale "Tous les parents exerçant conjointement l'autoritĂ© parentale sur la personne de leur enfant sont Ă©galement responsables de lui. En consĂ©quence, l'Éducation nationale doit entretenir avec ces deux parents, mĂȘme sĂ©parĂ©s, des relations de mĂȘme nature, leur faire parvenir les mĂȘmes documents, convocations, bulletins scolaires etc. et rĂ©pondre pareillement Ă  leurs demandes d'information ou de rendez-vous." Les textes de rĂ©fĂ©rence - la note du 13 octobre 1999 de la ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  l'enseignement scolaire , relative Ă  la transmission des rĂ©sultats scolaires. Cette note ministĂ©rielle du 13 octobre 1999 prĂ©voit que soient systĂ©matiquement demandĂ©es, lors de l'inscription de l'enfant et Ă  chaque dĂ©but d'annĂ©e scolaire, les coordonnĂ©es des deux parents. - la loi 2002-305 du 4 mars 2002 , du 5 mars 2002, relative Ă  l'autoritĂ© Pour avoir la photo scolaire, voici les textes sur le site de l' pour l’obtenir La photographie scolaire CIRCULAIRE N°2003-091 DU 5-6-2003 du directeur de l’enseignement scolaire Jean-Paul de GAUDEMAR, pour le ministre de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, et par dĂ©lĂ©gation. "La pratique de la photographie scolaire correspond Ă  une tradition ancienne dans les Ă©coles publiques. Elle rĂ©pond Ă  une attente de la part d’une majoritĂ© de familles soucieuses de conserver un souvenir de la scolaritĂ© de leurs enfants. En effet, la photographie de l’élĂšve, en situation scolaire, dans la classe, c’est-Ă -dire celle qui montre l’enfant dans son cadre de travail, est devenue, pour beaucoup, au mĂȘme titre que la photographie collective, le moyen de se familiariser avec l’institution scolaire et de conserver, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, un souvenir du temps passĂ© Ă  l’école."VI Les textes rĂ©cents 2006 rĂ©affirment les droits des parents envers l'Ă©cole 1 Le rĂŽle et la place des parents d'Ă©lĂšve Ă  l'Ă©cole Circulaire n° 2006-137 du 25-8-2006 Lire l'intĂ©gralitĂ© sur ces liens ou ici "ConformĂ©ment Ă  l’article L 111-4 du code de l’éducation, “les parents d’élĂšves sont membres de la communautĂ© Ă©ducative. Leur participation Ă  la vie scolaire et le dialogue avec les enseignants et les autres personnels sont assurĂ©s dans chaque Ă©cole et dans chaque Ă©tablissement. Les parents d’élĂšves participent par leurs reprĂ©sentants aux conseils d’école, aux conseils d’administration des Ă©tablissements scolaires et aux conseils de classe”. Ces dispositions mĂ©ritaient d’ĂȘtre prĂ©cisĂ©es et ancrĂ©es dans un texte rĂ©glementaire notamment en prenant appui sur les bonnes pratiques dĂ©jĂ  mises en Ɠuvre dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires. En effet, la rĂ©gularitĂ© et la qualitĂ© des relations construites avec les parents constituent un Ă©lĂ©ment dĂ©terminant dans l’accomplissement de la mission confiĂ©e au service public de l’éducation. L’obligation faite Ă  l’État de garantir l’action Ă©ducative des familles requiert de soutenir et renforcer le partenariat nĂ©cessaire entre l’institution scolaire et les parents d’élĂšves, lĂ©galement responsables de l’éducation de leurs enfants. L’École doit en consĂ©quence assurer l’effectivitĂ© des droits d’information et d’expression reconnus aux parents d’élĂšves et Ă  leurs reprĂ©sentants ainsi que, selon les procĂ©dures prĂ©vues Ă  cette fin, leur participation aux instances collĂ©giales de l’établissement. Elle doit Ă©galement reconnaĂźtre les droits des associations de parents d’élĂšves." 2 Les relations parents enseignants Les rencontres parents-enseignants "De bonnes relations et une coopĂ©ration active entre les familles et l'Ă©cole ne peuvent que favoriser la rĂ©ussite des enfants. Des temps dans l'annĂ©e scolaire sont amĂ©nagĂ©s Ă  cette fin pour permettre aux parents de rencontrer les enseignants. En effet, il est important que les parents d'Ă©lĂšves soient associĂ©s Ă  la dĂ©marche d'accompagnement du travail personnel de l'Ă©lĂšve et qu'ils prennent en compte les objectifs et les contraintes liĂ©es Ă  la scolaritĂ© de leurs enfants. Les parents d'Ă©lĂšves ont ainsi la possibilitĂ© de rencontrer les enseignants, les personnels d'Ă©ducation et les personnels de direction pour Ă©voquer toute question relative Ă  la scolaritĂ© de leur enfant. Le directeur d'Ă©cole, le chef d'Ă©tablissement et les enseignants veillent Ă  ce qu'une rĂ©ponse soit donnĂ©e aux demandes d'information et d'entrevues prĂ©sentĂ©es par les parents. Les parents des Ă©lĂšves nouvellement inscrits sont rĂ©unis par le directeur d'Ă©cole ou le chef d'Ă©tablissement dans les premiers jours suivants la rentrĂ©e. Le Conseil des maĂźtres prĂ©sidĂ© par le directeur d'Ă©cole Ă©cole primaire et le chef d'Ă©tablissement collĂšge, lycĂ©e organisent au moins deux fois par an et par classe une rencontre entre les parents et les enseignants. Dans les collĂšges et les lycĂ©es, une information sur l'orientation est organisĂ©e. Les parents sont tenus rĂ©guliĂšrement informĂ©s des rĂ©sultats et du comportement scolaires de leurs enfants notamment par l'intermĂ©diaire du livret scolaire Ă©cole primaire et du bulletin scolaire collĂšge, lycĂ©e. L'Ă©cole ou l'Ă©tablissement scolaire prend toute mesure adaptĂ©e pour que les parents prennent connaissance de ces documents." 3 DĂ©cret rĂ©cent important relatif aux parents et associations de parents d'Ă©lĂšve DĂ©cret consultable sur le site de l'Ă©ducation nationale Cliquer ici OU DĂ©cret tel que codifiĂ© dans le Code de l'Education cliquer ICI. Extraits de ce dĂ©cret DÉCRET RELATIF AUX PARENTS D’ÉLÈVES, AUX ASSOCIATIONS DE PARENTS D’ÉLÈVES ET AUX REPRÉSENTANTS DES PARENTS D’ÉLÈVES ET MODIFIANT LE CODE DE L’ÉDUCATION PARTIE RÉGLEMENTAIRE D. n° 2006-935 du 28-7-2006. JO du 29-7-2006 "Article 1 - Au chapitre Ier du titre Ier du livre Ier de la partie rĂ©glementaire du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© une section unique ainsi rĂ©digĂ©e “Section unique Sous-section 1 - Les parents d’élĂšves Art. D. 111-1 - Les parents des Ă©lĂšves nouvellement inscrits sont rĂ©unis par le directeur d’école ou le chef d’établissement dans les premiers jours suivant la rentrĂ©e scolaire. Art. D. 111-2 - Le conseil des maĂźtres prĂ©sidĂ© par le directeur d’école dans le premier degrĂ©, le chef d’établissement dans le second degrĂ© organisent au moins deux fois par an et par classe une rencontre, qui peut prendre diffĂ©rentes formes, entre les parents et les enseignants. Dans les collĂšges et les lycĂ©es, l’information sur l’orientation est organisĂ©e chaque annĂ©e dans ce cadre. Art. D. 111-3 - Les parents sont tenus rĂ©guliĂšrement informĂ©s des rĂ©sultats et du comportement scolaires de leurs enfants notamment par l’intermĂ©diaire du livret scolaire dans le premier degrĂ© ou du bulletin scolaire dans le second degrĂ©. L’école ou l’établissement scolaire prend toute mesure adaptĂ©e pour que les parents prennent connaissance de ces documents. Art. D. 111-4 - Le directeur d’école, le chef d’établissement et les enseignants veillent Ă  ce qu’une rĂ©ponse soit donnĂ©e aux demandes d’information et d’entrevues prĂ©sentĂ©es par les parents. Toute rĂ©ponse nĂ©gative doit ĂȘtre motivĂ©e. Art. D. 111-5 - Lors de sa premiĂšre rĂ©union, le conseil d’école ou le conseil d’administration examine les conditions d’organisation du dialogue avec les parents. Le conseil d’école ou le conseil d’administration peut prĂ©voir toutes actions supplĂ©mentaires pour tenir compte des spĂ©cificitĂ©s locales et des orientations du projet d’école ou d’établissement. Les conditions d’accueil des parents sont prĂ©cisĂ©es, ainsi que les conditions dans lesquelles ils peuvent accĂ©der aux espaces numĂ©riques de travail. Les parents d’élĂšves sont informĂ©s des dĂ©cisions prises, notamment en ce qui concerne le nombre, la nature et la date des rencontres prĂ©vues. Sous-section 2 - Les associations de parents d’élĂšves ..." 4 Élections des reprĂ©sentants de parents d’élĂšves aux conseils des Ă©coles et aux conseils d’administration des EPLE Etablissements Publics locaux d'enseignement- annĂ©e 2008-2009 NOR MENE0800563N RLR 511-7 ; 521-1 NOTE DE SERVICE N°2008-101 DU 25-7-2008 Texte adressĂ© aux rectrices et recteurs d’acadĂ©mie ; aux inspectrices et inspecteurs d’acadĂ©mie, directrices et directeurs des services dĂ©partementaux de l’éducation nationale " Pour l’annĂ©e scolaire 2008-2009, les Ă©lections des reprĂ©sentants de parents d’élĂšves aux conseils des Ă©coles et aux conseils d’administration des Ă©tablissements publics locaux d’enseignement se dĂ©rouleront les 17 et 18 octobre 2008. Comme chaque annĂ©e, le jour du scrutin sera choisi entre ces deux dates par la commission Ă©lectorale dans le premier degrĂ© et par le chef d’établissement dans le second degrĂ©, en accord avec les fĂ©dĂ©rations de parents prĂ©sentes ou reprĂ©sentĂ©es dans l’établissement. La prĂ©sente note de service a pour objet d’appeler l’attention sur les points suivants Information prĂ©alable des familles Il est rappelĂ© que chaque parent est Ă©lecteur et Ă©ligible. L’implication des familles et la qualitĂ© de leurs relations avec l’école sont un facteur de rĂ©ussite des Ă©lĂšves. L’importance de la participation des parents aux instances collĂ©giales des Ă©coles et Ă©tablissements a Ă©tĂ© rĂ©affirmĂ©e dans la circulaire n° 2006-137 du 25 aoĂ»t 2006 relative au rĂŽle et Ă  la place des parents. Il importe donc de veiller Ă  ce qu’une information prĂ©cise leur soit donnĂ©e en dĂ©but d’annĂ©e sur le fonctionnement de l’école ou de l’établissement et sur l’organisation des Ă©lections des reprĂ©sentants des parents d’élĂšves afin de permettre aux parents qui le souhaitent d’ĂȘtre candidats et de favoriser la participation Ă©lectorale. Cette information sera donnĂ©e lors de la rĂ©union de rentrĂ©e et confirmĂ©e par courrier. Les horaires de cette rĂ©union doivent ĂȘtre compatibles avec les obligations professionnelles des familles. Établissement de la liste Ă©lectorale Chaque parent, quelle que soit sa situation matrimoniale, est Ă©lecteur Ă  ces Ă©lections, sauf dans le cas oĂč il s’est vu retirer l’autoritĂ© parentale. La fiche de renseignements demandĂ©e aux familles en dĂ©but d’annĂ©e scolaire mentionne les coordonnĂ©es des deux parents. Ainsi, les deux parents figureront sur la liste Ă©lectorale, dans la mesure toutefois oĂč les informations concernant chacun d’eux auront Ă©tĂ© communiquĂ©es Ă  l’école ou l’établissement scolaire. Il n’appartient pas en effet aux directeurs d’école et chefs d’établissement de rechercher eux-mĂȘmes ces informations. Mais cette liste pourra ĂȘtre mise Ă  jour, selon les justificatifs qui auront Ă©tĂ© apportĂ©s par le parent concernĂ©, jusqu’au dĂ©roulement mĂȘme du scrutin et ce, bien Ă©videmment, avant la fermeture du bureau de vote. Chacun des parents devra recevoir l’ensemble du matĂ©riel de vote. Établissement des listes de candidatures Chaque parent est Ă©ligible ou rééligible, sauf dans le cas oĂč il s’est vu retirer l’autoritĂ© parentale. Si un candidat se dĂ©siste moins de huit jours francs avant l’ouverture du scrutin, il ne peut ĂȘtre remplacĂ©. Tout cas d’inĂ©ligibilitĂ© dĂ©couvert sur une liste doit ĂȘtre signalĂ© au bureau des Ă©lections, qui en avisera l’intĂ©ressĂ© en vue de sa radiation. Peuvent dĂ©poser des listes de candidats - les fĂ©dĂ©rations ou unions de parents d’élĂšves, qu’elles soient ou non prĂ©sentes dans l’établissement ; - des associations dĂ©clarĂ©es de parents d’élĂšves, c’est-Ă -dire des associations dont l’objet est la dĂ©fense des intĂ©rĂȘts communs des parents d’élĂšves ; - des parents d’élĂšves qui ne se sont pas constituĂ©s en associations. Vous veillerez au strict respect de l’égalitĂ© de traitement dans l’affichage et la distribution des documents Ă©laborĂ©s par les fĂ©dĂ©rations, qu’elles soient ou non reprĂ©sentĂ©es dans l’établissement. Les listes peuvent ne pas ĂȘtre complĂštes mais doivent comporter au moins deux noms. Les listes et les dĂ©clarations de candidatures doivent parvenir au bureau des Ă©lections avant la date limite fixĂ©e par le calendrier des opĂ©rations Ă©lectorales. Les candidatures dĂ©posĂ©es hors dĂ©lais sont irrecevables. Sur les listes et les dĂ©clarations de candidatures figure - soit la mention de la fĂ©dĂ©ration ou de l’association de parents d’élĂšves qui prĂ©sente la liste ; - soit le nom du premier candidat, dans le cas d’une liste prĂ©sentĂ©e par des parents d’élĂšves non constituĂ©s en association. Concernant la mention de l’appartenance, les candidats figurant sur une liste prĂ©sentĂ©e par une fĂ©dĂ©ration ou une union de parents d’élĂšves existant au niveau national, ou par une association de parents d’élĂšves, n’ont pas Ă  mentionner leur appartenance Ă  cĂŽtĂ© de leur nom. Les candidats figurant sur une liste d’union ont la possibilitĂ© de mentionner Ă  cĂŽtĂ© de leur nom leur appartenance Ă  l’une des fĂ©dĂ©rations, unions ou associations mentionnĂ©es ci-dessus. DĂ©pĂŽt des listes de candidature S’agissant du premier degrĂ©, l’article premier de l’arrĂȘtĂ© du 13 mai 1985 prĂ©voit qu’“à la fin de l’annĂ©e scolaire ou au dĂ©but de l’annĂ©e scolaire suivante le conseil d’école dĂ©signe en son sein une commission... Cette commission est chargĂ©e d’assurer l’organisation et de veiller au bon dĂ©roulement des Ă©lections... En cas d’impossi bilitĂ© de constituer cette commission ou en cas de dĂ©saccord au sein de celle-ci sur les modalitĂ©s d’organisation du scrutin, les opĂ©rations dĂ©crites ci-dessous incombent au directeur d’école...” [...] Pour le ministre de l’éducation nationale et par dĂ©lĂ©gation, Le directeur gĂ©nĂ©ral de l’enseignement scolaire Jean-Louis NEMBRINI 5 Parents d'Ă©lĂšve et Ă©cole privĂ©e Les relations entre les APEL associations de parents d'Ă©lĂšve de l'Enseignement Libre et les Ă©coles privĂ©es "La reprĂ©sentativitĂ© des responsables APEL des Ă©tablisements catholiques trouve sa source dans le Statut de l’Enseignement Catholique et dans les textes de l'Eglise catholique relatifs Ă  l'Ă©ducation. Les statuts des APEL doivent ĂȘtre scrupuleusement respectĂ©s en matiĂšre d’élection, car la lĂ©gitimitĂ© des Ă©lus nĂ©cessite la lĂ©galitĂ© de leur Ă©lection. Il est nĂ©cessaire de donner du sens Ă  la cotisation versĂ©e au Mouvement des APEL. Cela suppose que les services rendus par les APEL Ă  tous les niveaux soient reconnus et identifiĂ©s. Cette condition ne sera remplie que si nous rendons plus pertinentes nos façons de communiquer. L’APEL n’est pas ni le reprĂ©sentant d’une corporation, ni la simple courroie de transmission de l'un de ses partenaires. Elle est au service du projet Ă©ducatif d'un Ă©tablissement et du projet du Mouvement des APEL. L’attachement des parents chrĂ©tiens Ă  l’école catholique a naturellement vocation Ă  s’exprimer aussi dans leur participation Ă  la vie des APEL sans exclusive Ă  l'Ă©gard de qui que ce soit. " 6 Pour en savoir plus sur les EPLE Ă©tablissements publics locaux d'enseignement L' et ses missions Rapport IGAENR - Rapport conjoint IGEN-IGAENR Jean-Paul Delahaye, François Louis dĂ©cembre 2006 " Plus de vingt ans aprĂšs la publication du dĂ©cret du 30 aoĂ»t 1985 crĂ©ant l' Ă©tablissement public local d'enseignement », l' a pris une place dĂ©cisive au sein du systĂšme Ă©ducatif. De maniĂšre progressive et continue, de nouvelles tĂąches sont venues s'ajouter Ă  sa mission fondamentale d'enseignement. Aussi les personnels de direction ont-ils exprimĂ© leur inquiĂ©tude devant l'accumulation de sollicitations diverses. Un recadrage de l'action des paraĂźt donc s'imposer sans figer, pour autant, le contenu de leurs missions de façon exhaustive et dans un texte unique. Aujourd'hui, l'autonomie de l' est encore en construction ; mais si l'administration centrale et les responsables acadĂ©miques doivent ĂȘtre respectueux de cette autonomie, ils doivent aussi avoir le souci d'Ă©viter que la diversitĂ© des approches ne dĂ©rive en disparitĂ©s non compatibles avec le principe d'unitĂ© du service public. Les inspections gĂ©nĂ©rales mettent plus particuliĂšrement en avant quatre axes principaux qui permettraient de clarifier et donc de rendre plus effectives les missions des - reconnaĂźtre vraiment l' comme un espace autonome de l'action pĂ©dagogique ; - respecter le principe de spĂ©cialitĂ© qui est le sien ; - organiser les services acadĂ©miques dans une perspective de service effectif aux Ă©tablissements ; - aider les Ă  mieux s'organiser pour assurer de maniĂšre plus efficace leurs tĂąches pĂ©dagogiques et administratives. L' et ses missions 7 Pour en savoir plus sur les Ă©tablissements d'enseignement privĂ©s et leurs obligations a Trois lois fondamentales fixent le statut juridique des Ă©tablissements d'enseignement privĂ©s - la loi Goblet du 30 octobre 1886 relative Ă  l'enseignement primaire ; - la loi Falloux du 15 mars 1850 sur l'enseignement secondaire ; - la loi Astier du 25 juillet 1919 sur l'enseignement technique. Aussi la loi no 98-1165 du 18 dĂ©cembre 1998 tendant Ă  renforcer le contrĂŽle de l'obligation scolaire " Le fait, par un directeur d'Ă©tablissement privĂ© accueillant des classes hors contrat, de n'avoir pas pris, malgrĂ© la mise en demeure de l'inspecteur d'acadĂ©mie, les dispositions nĂ©cessaires pour que l'enseignement qui y est dispensĂ© soit conforme Ă  l'objet de l'instruction obligatoire, tel que celui-ci est dĂ©fini par l'article 16 de la loi du 28 mars 1882 sur l'enseignement primaire, et de n'avoir pas procĂ©dĂ© Ă  la fermeture de ces classes est puni de six mois d'emprisonnement et de 50 000 F d'amende. ..." b Concernant l’inspection des Ă©tablissements privĂ©s du primaire la loi Goblet du 30 octobre 1886 relative Ă  l'enseignement primaire "...Article 9 L’inspection des Ă©tablissements d’instruction primaire publique ou privĂ©e est exercĂ©e 1. par les inspecteurs gĂ©nĂ©raux de l’Instruction publique ; 2. par les recteurs et les inspecteurs d’acadĂ©mie ; 3. par les inspecteurs de l’enseignement primaire ; 4. par les membres du conseil dĂ©partemental dĂ©signĂ©s Ă  cet effet, conformĂ©ment Ă  l’article 50. Toutefois,les Ă©coles privĂ©es ne pourront ĂȘtre inspectĂ©es par les instituteurs et institutrices publics qui font partie du conseil dĂ©partemental; 5. par le maire et les dĂ©lĂ©guĂ©s cantonaux ; 6. dans les Ă©coles maternelles concurremment avec les autoritĂ©s prĂ©citĂ©es, par les inspectrices gĂ©nĂ©rales et les inspectrices dĂ©partementales des Ă©coles maternelles ; 7. au point de vue mĂ©dical, par les mĂ©decins inspecteurs communaux ou dĂ©partementaux." c Le statut des Ă©tablissements privĂ©s dans le Code de l'Education cliquer ICIVII ModĂšle de lettre Ă  envoyer au Directeur de l'Ă©cole pour l'obliger Ă  obtenir votre accord mĂȘme pour des actes usuels de l'autoritĂ© parentale, et pour Ă©viter que votre enfant ne soit dĂ©sinscrit par un seul parent A savoir l'inscription dans une nouvelle Ă©cole doit ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©e d'un certificat de radiation de l'Ă©cole publique d'origine, lequel ne peut pas ĂȘtre dĂ©livrĂ© sans l'accord des deux parents - si l'Ă©cole avait connaissance du dĂ©saccord entre les parents car dans ce cas l'Ă©cole ne peut plus ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme ayant agi de bonne foi en se contentant de l'accord d'un seul parent, mais la difficultĂ© consistera Ă  prouver la mauvaise foi de l'Ă©cole qui pourrait prĂ©tendre ne pas avoir Ă©tĂ© au courant du dĂ©saccord - Ă  plus forte raison et de façon indiscutable si l'un des parents avait formellement signalĂ© son dĂ©saccord par Ă©crit et de prĂ©fĂ©rence par Lettre recommandĂ©e avec Avis de RĂ©ception Ă  l'Ă©cole . Pour Ă©viter une radiation abusive par un seul parent ou en prĂ©vention, l'autre parent peut demander Ă  l'Inspecteur de Circonscription de l'Education Nationale de rappeler la rĂšgle au chef d'Ă©tablissement. En cas de dĂ©saccord entre les deux parents, c'est une dĂ©cision de justice qui donne ou non l'accord de radiation. Dans le modĂšle de lettre ci dessous, un pĂšre sĂ©parĂ© et titulaire de l'autoritĂ© parentale conjointe, Ă©crit Ă  l'Ă©cole pour Ă©viter que les enfants ne soient dĂ©scolarisĂ©s sans son accord et sans qu'il n'ait pu en discuter. Votre ex ne pourra alors pas mener Ă  bien son projet d'Ă©loignement gĂ©ographique volontaire qui aurait pour but de couper les liens entre les enfants et vous. Mais attention si votre ex dĂ©mĂ©nage pour raison professionnelle qui ne traduit pas sa volontĂ© de nuire aux rapports entre les enfants et vous, le JAF pourrait vous reprocher de l'avoir empĂȘchĂ© d'inscrire les enfants si vous n'avez pas de bonnes raisons. Les courriers type ci-aprĂšs sont donc Ă  utiliser avec luciditĂ©, et notamment si le JAF est saisi du fait que votre ex dĂ©mĂ©nage et dĂ©sinscrit les enfants de l'Ă©cole dans le but de nuire Ă  vos relations. 1 LETTRE TYPE POUR EMPÊCHER UNE DÉSINSCRIPTION DE L'ÉCOLE SANS VOTRE ACCORD mĂ©thode testĂ©e et appliquĂ©e avec succĂšs par CĂ©dric Fleurigeon " Mr le Directeur, Je m'adresse Ă  vous en qualitĂ© de pĂšre et titulaire de l'autoritĂ© parentale sur les enfants "nom", "prĂ©nom", "date de naissance"... Leur mĂšre est Mme XXXX , elle aussi Ă©tant titulaire de l'autoritĂ© parentale. Mes enfants sont scolarisĂ©s dans votre Ă©tablissement depuis le... . Le prĂ©sent courrier a pour objet de vous indiquer que vous devez dĂ©sormais considĂ©rer que Mme XXX, mĂšre des enfants agirait sans mon accord si elle prenait seule des dĂ©cisions relatives aux actes usuels de l'autoritĂ© parentale. En consĂ©quence, vous devez considĂ©rer conformĂ©ment Ă  l'art. 372-2du Code civil, qu'Ă  compter de la rĂ©ception de la prĂ©sente lettre, il n'existe PAS de prĂ©somption d'accord entre Mme XX et moi mĂȘme, en ce qui concerne les actes usuels de l'autoritĂ© parentale. Il en dĂ©coule qu'aussi bien en ce qui concerne les actes usuels, que non usuels, relevant de l'autoritĂ© parentale relative aux enfants, je devrai ĂȘtre consultĂ© et donner mon accord au mĂȘme titre que Mme XX, pour qu'une dĂ©cision soit prise. Je vous informe notamment que j'ai pris connaissance il y a peu de la volontĂ© de Mme XX de dĂ©scolariser nos enfants, je vous fais donc part par la prĂ©sente lettre de mon opposition Ă  leur dĂ©scolarisation, et je demande Ă  ce que les enfants restent inscrits dans votre Ă©tablissement pour la rentrĂ©e prochaine. Je vous rappelle qu'au vu de l'opposition entre Mme XX et moi mĂȘme, les enfants devront rester inscrits sauf Ă  ce qu'une dĂ©cision de justice statue sur ce dĂ©saccord liĂ© Ă  l'exercice conjoint de l'autoritĂ© parentale. Je vous demande donc expressĂ©ment de refuser toute demande visant la radiation des enfants de votre Ă©tablissement. Je vous rappelle enfin que votre Ă©tablissement engagerait sa responsabilitĂ© si vous passiez outre ma demande lĂ©gitime et qui a pour unique but de veiller Ă  l'intĂ©rĂȘt de mes enfants comme la loi m'en confie la responsabilitĂ©. Veuillez agrĂ©er, ...., l'expression de ma considĂ©ration distinguĂ©e. Signature " 2 LETTRE TYPE POUR EMPÊCHER UNE INSCRIPTION DANS UNE NOUVELLE ÉCOLE SANS VOTRE ACCORD pour empĂȘcher un dĂ©mĂ©nagement Ă  l'improviste de votre ex qui chercherait suite Ă  la dĂ©sinscription, Ă  rĂ©inscrire les enfants dans une nouvelle Ă©cole, vous pouvez envoyer le courrier type ci dessous - Ă  la mairie d'installation de l'ex si vous la connaissez, - Ă  l'inspection d'acadĂ©mie, - au rectorat et aux agences dĂ©partementales et rĂ©gionales d'enseignement catholique ou autre, - en cas de doute sur la destination, envoyez largement ! " Je vous fais part par la prĂ©sente de mon opposition Ă  l’inscription scolaire de mes enfants XXX. En effet Mme XX a fait part de sa volontĂ© de dĂ©mĂ©nager en date du XX/XX/XX, et donc par la mĂȘme de changer les enfants d’école, j’ai donc saisi le tribunal de XXX en vertu de l’article 372-1-1 du code civil afin d’éviter cette situation qui ne trouve aucune autre justification que de nuire aux liens entre les enfants et leur pĂšre. Lors de l’audience du XX/XX/XX le Juge aux affaires familiales a expliquĂ© Ă  Mme les consĂ©quences sur la rĂ©sidence de l'enfant de son projet de dĂ©mĂ©nager. MalgrĂ© cela Mme a ouvertement fait part de sa volontĂ© de ne pas tenir compte des indications qui lui ont Ă©tĂ© donnĂ©es, au mĂ©pris des dispositions de l’article 372-2 du code civil relatif Ă  l’autoritĂ© parentale conjointe. Je rappelle Ă  ce sujet que j'ai dĂ©noncĂ© la prĂ©somption d’accord posĂ©e par cette disposition auprĂšs de Mme XXXX directrice de Ă©cole afin d’exprimer mon refus concernant la radiation des enfants, ce qui a Ă©tĂ© pris en compte. En consĂ©quence tout document de radiation qui vous serait transmis ne pourrait qu'ĂȘtre pris en contradiction avec les dispositions lĂ©gales, voire falsifiĂ©, et je vous demande de bien vouloir m'informer et me transmettre tout document de ce type qui pourrait vous ĂȘtre remis afin de les produire en justice. Je vous demande donc de ne pas accepter l’inscription de mes enfants dans le ressort de votre acadĂ©mie, et de me transmettre toute information portĂ©e Ă  votre connaissance Ă  ce sujet, notamment les coordonnĂ©es de Mme, celle-ci faisant acte de sa volontĂ© de ne pas respecter la dĂ©cision de justice du XX/XX/XX et de ne pas respecter les droits de visite et d'hĂ©bergement dĂ©cidĂ©s par la justice. Une audience est prĂ©vue le XX/XX/XX devant le Juge aux affaires familiales, et si Mme ne revient pas sur ses positions, un transfert de rĂ©sidence des enfants est envisagĂ©. De plus, Mme a indiquĂ© qu'elle ne viendrait pas Ă  cette audience et qu’elle n’aura plus rĂ©sidence Ă  XXX. Je compte donc sur votre coopĂ©ration afin d'Ă©viter toute inscription abusive des enfants, car le cas Ă©chĂ©ant je serais contraint de faire annuler une telle dĂ©cision par saisine du tribunal administratif, avec demande de dommages-intĂ©rĂȘts pour rĂ©parer le prĂ©judice subi. Veuillez agrĂ©er, l’expression de mes sentiments distinguĂ©s. "VIII Jurisprudence et exemple d'annulation d'une dĂ©cision de dĂ©sinscription de l'Ă©cole dĂ©cidĂ©e par un seul parent, et condamnation de l'Ă©ducation nationale 1/ Jurisprudence relative Ă  l'exercice de l'autoritĂ© parentale et l'Ă©cole - Parents divorcĂ©s - Documents relatifs Ă  la scolaritĂ© des enfants - Acte usuel - AccĂšs aux documents administratifs. TA Melun, M. P. c/ Recteur de l'AcadĂ©mie de CrĂ©teil, N ° 0302012/5 LIJ n° 123, p. 6 Un inspecteur d'acadĂ©mie a refusĂ© de communiquer au pĂšre divorcĂ© les dates et justificatifs des absences scolaires de son fils. Saisi par ce parent, le tribunal administratif dĂ©boute ce dernier 1° - les parents ne doivent justifier que l' "absentĂ©isme excessif ou non justifiĂ©" tolĂ©rance des Ă©coles pour des absences de courtes durĂ©e, 2°- l'enfant n'as pas Ă©tĂ© absent souvent et les fois oĂč li l'a Ă©tĂ©, la mĂšre l'a justifiĂ© oralement l'accord de l'autre parent n'est pas exigĂ© art. 372-2 du code civil, 3° - le carnet de correspondance est un document qui, par sa nature de liaison quotidienne, n'a pas Ă  quitter le cartable de l'Ă©lĂšve il est normal que le recteur n'autorise pas sa communication au pĂšre et il ne s'agit pas d'un cas oĂč la lĂ©gislation sur l'autoritĂ© parentale s'applique. - Parents divorcĂ©s - AutoritĂ© parentale conjointe - Inscription d'un Ă©lĂšve - Acte usuel. Lettre DAJ n° 07-164 du 24 aoĂ»t 2007 LIJ n° 119 de novembre 2007, p. 30-31. Une mĂšre veut inscrire sa fille Ă  l'Ă©cole maternelle contre l'avis du pĂšre dont elle est sĂ©parĂ©e, ils ont tous deux l'autoritĂ© parentale conjointe. La lettre DAJ en profite pour rappeler la loi article 372 du code civil instituant la garde conjointe, mais surtout l'article 372-2 du mĂȘme code oĂč "chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l'accord de l'autre" Ă  l'Ă©gard des tiers de bonne foi "quand il s'agit d'un acte usuel de l'autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l'enfant". L'inscription Ă  l'Ă©cole maternelle n'est pas un acte usuel [il n'engage pas l'avenir de l'enfant comme une dĂ©cision d'orientation] et le pĂšre s'oppose non Ă  la scolarisation elle-mĂȘme mais au choix de l'Ă©cole. Encore fallait-il s'y opposer au moment de la demande prĂ©sentĂ©e par la mĂšre le maire n'Ă©tait pas au courant et rien ne lui faisait supposer un dĂ©saccord [voir arrĂȘt Mme Dupin du Conseil d'Etat du 8 fĂ©vrier 1999 et ci-dessous]. En revanche, le pĂšre peut parfaitement saisir le juge aux affaires familiales Ă  propos des modalitĂ©s d'exercice de l'autoritĂ© parentale conjointe [le site du service public]. - Radiation - AutoritĂ© parentale - Acte usuel - Communication des bulletins scolaires. CAA, Paris, 2 octobre 2007, M. C., n° 05PA04019 en ligne LIJ n° 119 de novembre 2007, p. 7. Une mĂšre sĂ©parĂ©e du pĂšre a demandĂ© et obtenu la radiation de son fils de l'Ă©cole primaire acte usuel sans en informer le pĂšre Ă  temps. Celui-ci - auquel est accordĂ©e l'autoritĂ© parentale conjointe - demande Ă  l'administration rĂ©paration financiĂšre du prĂ©judice subi, fautive selon lui de ne pas l'avoir prĂ©venu. Le tribunal le dĂ©boute l'administration ne peut que supposer que les parents sont d'accord pour une telle dĂ©cision [textes ci-dessus]. De la mĂȘme façon, celle-ci ne pouvait savoir que la mĂšre ne lui transmettait pas les bulletins scolaires de leur enfant. Mais le pĂšre avait connaissance des rĂ©sultats de son fils. Enfin il n'y a pas de lien entre l'absence de communication des bulletins puisqu'il savait et la dĂ©cision de faire redoubler le CM2 Ă  son fils. Il "n'est pas fondĂ© Ă  demander la rĂ©paration du prĂ©judice rĂ©sultant de l'allongement de la durĂ©e des Ă©tudes de son fils ". - Radiation de l'Ă©cole et autoritĂ© parentale acte usuel - TA Rouen, LIJ, n° 93, mars 2005, p. 6 La demande de radiation d'un Ă©lĂšve relĂšve de la catĂ©gorie de actes usuels article 372-2 du code civil. Si les parents divorcĂ©s disposent tous de deux de l'autoritĂ© parentale, l'un comme l'autre peut la demander et sans indication contraire de l'autre parent avant dĂ©cision, elle est de droit. En l'espĂšce, suite Ă  dĂ©mĂ©nagement de l'enfant qui suit sa mĂšre conforme Ă  l'ordonnance de non-conciliation, une telle mesure s'imposait au directeur d'Ă©cole maternelle concernĂ©. - ProcĂ©dure de voyage scolaire - cas de dĂ©saccord parental Des parents divorcĂ©s sont en dĂ©saccord sur la participation de leur enfant Ă  un voyage scolaire. Le pĂšre refuse cette participation et rĂ©clame des prĂ©cisions sur la qualitĂ© de l'encadrement, ainsi que la communication des contrats d'assurance souscrits pour couvrir les risques de l'EPLE et des enseignants. Ce cas permet d'examiner la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure d'un voyage scolaire tant sur le fond que sur la forme, ainsi que de rappeler les responsabilitĂ©s respectives des acteurs sur les plans administratif, civil et pĂ©nal. 2/ Exemple d'une dĂ©cision qui sanctionne le dĂ©faut d'Ă©galitĂ© de traitement entre les deux parents par l'Ă©ducation nationale et une certaine forme de complaisance en faveur d'un parent "gardien" peu soucieux de l'autre. Tribunal Administratif de Montpellier N° 941135 Statuant au Contentieux CHAMBRE 1Ăšre Audience du 8 FĂ©vrier 1995 Jugement lu le 1er Mars 1995 INSTANCE M. FrĂ©dĂ©ric V___ par Me P___ C/ Recteur de l'acadĂ©mie de MONTPELLIER VU la requĂȘte enregistrĂ©e au greffe le 12 Avril 1994 sous le numĂ©ro 941135 prĂ©sentĂ©e pour M. FrĂ©dĂ©ric _____, domiciliĂ© RĂ©sidence Aiguelongue BĂątiment 3 escalier C n° 78 - 34090 MONTPELLIER, tendant Ă  obtenir l'annulation de la dĂ©cision du 2 dĂ©cembre 1993 par laquelle la directrice de l'Ă©cole maternelle Aiguelongue a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de sa fille Marguerite, ĂągĂ©e de 4 ans Ă  la demande de la mĂšre de l'enfant, ensemble la dĂ©cision du 8 fĂ©vrier 1994 par laquelle l'inspecteur d'acadĂ©mie de Montpellier a rejetĂ© la recours administratif qu'il avait formĂ© contre cette dĂ©cision ; VU

; VU les autres piĂšces du dossier ; VU le code civil ; VU la loi n' 87-1127 du 31 dĂ©cembre 1987 ; VU le code des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel ; AprĂšs avoir entendu Ă  l'audience publique du 8 FĂ©vrier 1995 Ă  laquelle siĂ©geaient M. F___ prĂ©sident, M. D___ et M. A____, conseillers, assistĂ©s de M. C____ greffier. Les parties ayant Ă©tĂ© convoquĂ©es, Le rapport de M. A____ Les observations de Me P____ pour le requĂ©rant, Les conclusions de M. C____ commissaire du gouvernement, et aprĂšs en avoir dĂ©libĂ©rĂ© en la mĂȘme formation ; Sur la compĂ©tence de la juridiction administrative ConsidĂ©rant que l'acte par lequel un chef d'Ă©tablissement scolaire procĂšde, Ă  la demande de l'un ou l'autre des parents, Ă  la radiation d'un enfant des listes de son Ă©tablissement constitue une dĂ©cision administrative susceptible, comme telle. d'ĂȘtre soumise au contrĂŽle du juge de l'excĂšs de pouvoir ; que, dĂšs lors, le tribunal de cĂ©ans est compĂ©tent pour connaĂźtre des conclusions de la requĂȘte prĂ©sentĂ©e par M. V____ tendant Ă  l'annulation d'une telle dĂ©cision ; Sur la lĂ©galitĂ© des dĂ©cision attaquĂ©es ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article 372 du code civil "Pendant le mariage, les pĂšre et mĂšre exercent conjointement leur autoritĂ©" ; qu'aux termes de l'article 372-1 du mĂȘme code "Si les pĂšre et mĂšre ne parvenaient pas Ă  s'accorder sur ce qu'exige l'intĂ©rĂȘt de l'enfant, la pratique qu'ils auraient pu suivre prĂ©cĂ©demment dans des occasions semblables leur tiendrait lieu de rĂšgle. A dĂ©faut d'une telle pratique ou en cas de contestation sur son existence ou son bien-fondĂ©, l'Ă©poux le plus diligent pourra saisir le juge des tutelles qui statuera aprĂšs avoir tentĂ© de concilier les parties" ; ConsidĂ©rant que M. V___ demande l'annulation de la dĂ©cision du 2 dĂ©cembre 1993 par laquelle la directrice de l'Ă©cole maternelle a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de sa fille Marguerite des listes de son Ă©tablissement sur la demande de la mĂšre de l'enfant, malgrĂ© son opposition dont il avait fait part par courrier du 18 novembre 1993 ; ConsidĂ©rant qu'en vertu des dispositions sus rappelĂ©es de l'article 372-1 du code civil, il n'appartient qu'au juge des tutelles de statuer sur les litiges pouvant survenir entre les parents dĂ©tenteurs de l'autoritĂ© parentale ; que, dĂšs lors que l'existence d'un tel litige avait Ă©tĂ© portĂ© Ă  sa connaissance, la directrice de l'Ă©cole maternelle "A..." ne pouvait, sans commettre d'erreur de droit, accĂ©der Ă  la demande de la mĂšre de l'enfant ; qu'il s'ensuit que la dĂ©cision du 2 dĂ©cembre 1993 par laquelle elle a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de l'enfant Marguerite V___ listes de son Ă©tablissement, ainsi que la dĂ©cision du 8 fĂ©vrier 1994 par laquelle l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'HĂ©rault a rejetĂ© le recours administratif formĂ© par M. V___ sont illĂ©gales et doivent ĂȘtre annulĂ©es ; Sur les conclusion tendant Ă  l'attribution de dommages-intĂ©rĂȘts ConsidĂ©rant que le prĂ©judice subi par M. V___ du fait de l'illĂ©galitĂ© des dĂ©cisions dont s'agit sera justement Ă©valuĂ© Ă  la somme de Frs ; qu'il y a lieu de condamner l'État Ă  lui payer ladite somme ; Sur l'application de l'article du code des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel ConsidĂ©rant que, dans les circonstances de l'espĂšce, il y a lieu de condamner l'État Ă  payer Ă  M. V___ une somme de Frs au titre de l'article du code des tribunaux administratifs et cours administratives d'appel ; DĂ©cide Article 1 ER - La dĂ©cision du 2. dĂ©cembre 1993 par laquelle la directrice de l'Ă©cole maternelle "Aiguelongue" a procĂ©dĂ© Ă  la radiation de l'enfant Marguerite V___ des listes de son Ă©tablissement, ensemble celle du 8 fĂ©vrier 1994 par laquelle l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'HĂ©rault a rejetĂ© le recours formĂ© par M. V___ sont annulĂ©es. Article 2 - L'État est condamnĂ© Ă  payer Ă  M. V___ une somme de Frs mille francs. Article 3 - L'État est condamnĂ© Ă  payer Ă  M. V___ une somme de Frs trois mille francs au titre de l'article du code des tribunaux administratifs et cours administratives d'appel. Article 4 - Le surplus des conclusions de la requĂȘte est rejetĂ©. Article 5 - Le prĂ©sent jugement sera notifiĂ© Ă  M. V___ et au recteur de l'acadĂ©mie de Montpellier. LU en audience publique le 1er Mars 1995 LE CONSEILLER RAPPORTEUR LE PRÉSIDENT La RĂ©publique mande et ordonne AU MINISTRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE en ce qui le concerne et Ă  tous huissiers Ă  ce requis en ce qui concerne les voies de droit commun contre les parties privĂ©es de pourvoir Ă  l'exĂ©cution du prĂ©sent jugement. 3/ Exemple d'une dĂ©cision rĂ©cente TA ROUEN 21 oct 2010 qui annule la dĂ©sinscription d'un enfant d'un collĂšge, alors qu'un des parents avait expressĂ©ment manifestĂ© son dĂ©saccord envers cette dĂ©sinscription TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE ROUEN - 21 octobre 2010 N°l002098 et 1002099 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE M. X » Au NOM DU PEUPLE FRANÇAIS M. Guillou Rapporteur M. Coudert Rapporteur public Le Tribunal administratif de Rouen 1ere Chambre Audience du 30 septembre 2010 Lecture du 21 octobre 2010 Vu I° l'ordonnance n°340654 en date du 9 juillet 2010 par laquelle le prĂ©sident de la section du contentieux du Conseil d'Etat a attribuĂ© le jugement de la requĂȘte n° 1002098 au tribunal de cĂ©ans ; Vu la requĂȘte n° 1002098. enregistrĂ©e le 17 septembre 2009, au greffe du tribunal d'Amiens, prĂ©sentĂ©e par M. X , demeurant ADRESSE M. X demande au tribunal administratif d'Amiens - d'annuler la dĂ©cision de radiation de ses deux enfants prise par le principal du collĂšge COLLEGE 1» - d'annuler la dĂ©cision implicite de confirmation de cette dĂ©cision prise par l'inspecteur d'acadĂ©mie de l’Oise ; - de dire que ses deux enfants resterons inscrits au collĂšge COLLEGE 1» dans l'Oise ; - de condamner le principal et le principal adjoint du collĂšge COLLEGE 1» et l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'Oise et d'Amiens pris en la personne de l'Etat. Ă  lui verser la somme de euros Ă  titre de dommages et intĂ©rĂȘts ; - de condamner le principal et le principal adjoint du collĂšge COLLEGE 1» et l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'Oise et d'Amiens pris en la personne de l'Etat. Ă  lui payer la somme de 3000 euros au titre de l'article L. 761-I du code de justice administrative ; Vu le mĂ©moire en dĂ©fense enregistrĂ© le 14 janvier 2010 prĂ©sentĂ© par le recteur de l'acadĂ©mie d'Amiens qui conclut au rejet de la requĂȘte et soutient que le principal du collĂšge COLLEGE 1» Ă©tait tenu de dĂ©livrer un certificat de radiation en raison du changement de rĂ©sidence de la mĂšre, dĂ©s lors que la rĂ©sidence des enfants avait Ă©tĂ© fixĂ©e par le juge aux affaires familiales chez la mĂšre que la demande indemnitaire est irrecevable faute de demande prĂ©alable ; Vu le mĂ©moire en rĂ©plique enregistre le 9 fĂ©vrier 2010 prĂ©sentĂ© par M. X qui conclut aux mĂȘmes fins par les mĂȘmes moyens et soutient qu'Ă  la date de la dĂ©cision de radiation. Mme Y n'avait pas dĂ©mĂ©nagĂ© ; que le principal du collĂšge n'avait connaissance Ă  la date de sa dĂ©cision que de la dĂ©cision de justice ne tenant pas compte du changement de rĂ©sidence de Mme Y ; Vu II° l'ordonnance N°340461 en date du juillet 2010 par laquelle le prĂ©sident de la section du contentieux du Conseil d'Etat a attribuĂ© le jugement de la requĂȘte susvisĂ©e au tribunal de cĂ©ans Vu la requĂȘte n°1002009. enregistrĂ©e le 17 septembre 2009 au greffe du Tribunal administratif de Rouen, prĂ©sentĂ©e par M. X. demeurant ADRESSE ; M. X demande au tribunal - d'annuler la dĂ©cision d'inscription de ses deux enfants prise par le principal du collĂšge COLLEGE 2 nouvelle Ă©cole» ; - d'annuler la dĂ©cision implicite de confirmation de cette dĂ©cision prise par l’inspecteur d'acadĂ©mie de l'Eure ; - de dire que ses deux enfants resteront inscrits au collĂšge COLLEGE 1», dans l'Oise - de condamner le principal du collĂšge COLLEGE 2 nouvelle Ă©cole» et l'inspecteur d'acadĂ©mie de l'Eure, pris en la personne de l'Etat, Ă  lui verser la somme de euros Ă  titre de dommages et intĂ©rĂȘts ; - de condamner le principal du collĂšge COLLEGE 2 nouvelle Ă©cole» et l'inspecteur d'acadĂ©mie de l’Eure, pris en la personne de l’Etat, Ă  lui payer la somme de 3000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative Vu le mĂ©moire en dĂ©fense prĂ©sentĂ© le 18 dĂ©cembre 2009 par le recteur de l'acadĂ©mie de Rouen qui conclut au rejet de la requĂȘte et fait valoir qu'Ă  la date de la dĂ©cision d'inscription, prise le 1er septembre 2009, le juge aux affaires familiales avait fixĂ© la rĂ©sidence des enfants de M. X et de Mme Y chez cette derniĂšre qu'il n'avait pas Ă  s'immiscer dans le diffĂ©rend entre les deux parents Vu les dĂ©cisions attaquĂ©es Vu les autres piĂšces des dossiers Vu le code de l'Ă©ducation ; Vu le code civil ; Vu le code de justice administrative ; Les parties ayant Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement averties du jour de l'audience AprĂšs avoir entendu au cours de l'audience publique du 30 septembre 2010 ; - le rapport de M. Guillou - et les observations de Mme Robinet, reprĂ©sentant le rectorat de l'acadĂ©mie de Rouen - les conclusions de M. Coudert, rapporteur public ConsidĂ©rant qu'il rĂ©sulte de l'instruction que M. X et Mme Y ont eu deux enfants nĂ©s en 199X et 199X ; que le pacte civil de solidaritĂ© qui les a liĂ©s Ă  compter de 200X et qui prĂ©voyait, en cas de rupture, l'exercice en commun de l’autoritĂ© parentale et la rĂ©sidence des enfants en alternance, a Ă©tĂ© rompu en 200X ; qu'Ă  cette date M. X et Mme Y rĂ©sidaient dans l'Oise, dans le ressort de l'acadĂ©mie d'Amiens avec leurs deux enfants, ces derniers Ă©tant scolarisĂ©s au collĂšge COLLEGE 1 » respectivement en classe de CLASSES DE COLLEGE » ; que par un jugement du X XX 2008 le juge aux affaires familiales du TGI de CompiĂšgne a notamment rappelĂ© l'exercice en commun de l'autoritĂ© parentale, fixĂ© la rĂ©sidence des enfants au domicile de leur mĂšre et fixĂ© le droit de visite et d'hĂ©bergement du pĂšre; que la cour d'appel d'Amiens a confirmĂ© ce jugement par un arrĂȘt en date du 1er juillet 2009; que, par un courrier en date du 9 juillet 2009. Mme Y a informĂ© M. X qu'Ă  l'occasion d'une promotion, elle comptait scolariser les enfants au COLLEGE 2 nouvelle Ă©cole», dans l’Eure, situĂ© dans le ressort de l’acadĂ©mie de Rouen ; que M. X qui a de nouveau saisi, le 17 juillet 2009 le juge aux affaires familiales en rĂ©fĂ©rĂ©, tentant notamment d'obtenir le transfert de la rĂ©sidence des enfants Ă  son domicile, a Ă©tĂ© dĂ©boutĂ© de sa demande par une ordonnance du 31 juillet 2009 ; que, par les deux requĂȘtes sus visĂ©es. M. X demande l’annulation de la dĂ©cision de radiation de ses deux enfants en date du 2 juillet 2009 prise par le principal du collĂšge 1 » et l'annulation de la dĂ©cision en date du 1er septembre 2009 par laquelle la principale du collĂšge 2 nouvelle Ă©cole » a inscrit ses deux enfants dans son Ă©tablissement ; Sur la jonction ConsidĂ©rant que les deux requĂȘtes susvisĂ©es prĂ©sentent Ă  juger des questions connexes et ont fait l'objet d'une instruction commune; qu'il y a lieu en consĂ©quence de les joindre pour statuer par un seul jugement Sur les conclusions d'annulation En ce qui concerne la dĂ©cision de radiation du collĂšge COLLEGE 1 » ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article 372-2 du code civil A l'Ă©gard des tiers de bonne foi. chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l'accord de l'autre, quand il fait seul un acte usuel de l'autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l'enfant » ; qu'il rĂ©sulte de ces dispositions que chacun des parents peut effectuer des actes usuels sans qu'il lui soit besoin d'Ă©tablir qu'il dispose de l'accord exprĂšs de l'autre parent, dĂšs lors qu'il justifie exercer, conjointement ou exclusivement, l'autoritĂ© parentale sur cet enfant et qu'aucun Ă©lĂ©ment ne permet Ă  l'administration de mettre en doute l'accord rĂ©putĂ© acquis de l’autre parent; qu'aux termes de l'article 373-2 du mĂȘme code La sĂ©paration des parents est sans incidence sur les rĂšgles de dĂ©volution de l'exercice de l'autoritĂ© parentale. Chacun des pĂšre et mĂšre doit maintenir des relations personnelles avec l'enfant et respecter les liens de celui-ci avec l'autre parent. Tout changement de rĂ©sidence de l’un des parents, dĂšs lors qu'il modifie les modalitĂ©s d'exercice de l'autoritĂ© parentale, doit faire l'objet d'une information prĂ©alable et en temps utile de l'autre parent, en cas de dĂ©saccord, le parent le plus diligent saisit le juge aux affaires familiales qui statue selon ce qu'exige l'intĂ©rĂȘt de l'enfant. Le juge rĂ©partit, les frais de dĂ©placement et ajuste en consĂ©quence Je montant de la contribution Ă  l'entretien et Ă  l'Ă©ducation de l'enfant. » ; ConsidĂ©rant qu'il ressort des piĂšces du dossier que M. X avait informĂ©, par un courrier en date du 15 juin 2009, rĂ©ceptionnĂ© le 16 juin 2009. le principal du collĂšge 1 » qu'il s'opposait Ă  la radiation de ses deux enfants des listes de l’établissement sans son accord exprĂšs que si par un jugement du X XX 2008, confirmĂ© par un arrĂȘt de la cour d'appel d'Amiens en date du 1er juillet 2009, le juge aux affaires familiales du TGI de CompiĂšgne avait fixĂ© la rĂ©sidence des enfants au domicile de leur mĂšre et fixĂ© le droit de visite et d'hĂ©bergement du pĂšre, le changement de rĂ©sidence de Mme Y a constituĂ© une circonstance nouvelle, susceptible de modifier les modalitĂ©s d'exercice de l'autoritĂ© parentale et d'entraĂźner un dĂ©saccord entre M. X et Mme Y relatif notamment a la rĂ©sidence de leurs enfants que. dans ces conditions, en l’absence de dĂ©cision du juge aux affaires familiales tranchant l'Ă©ventuel dĂ©saccord entre les parents quant aux consĂ©quences du changement de rĂ©sidence de Mme Y le directeur du collĂšge 1 », ne pouvait lĂ©galement procĂ©der Ă  la radiation des deux enfants sollicitĂ©e par Mme Y sans l'accord des deux parents; qu'il est constant qu'il ne pouvait considĂ©rer, Ă  la date de sa dĂ©cision, comme acquis, au sens de l'article 372-2 du code civil, l'accord M. X pour la radiation sollicitĂ©e par la mĂšre des deux enfants alors que celui-ci avait explicitement manifestĂ© son dĂ©saccord dĂšs le 15 juin 2009 ; qu'il y a lieu, par suite, d'annuler la dĂ©cision de radiation susvisĂ©e ; En ce qui concerne la dĂ©cision d'inscription au COLLEGE 2 nouvelle Ă©cole» ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article L 131-1 du code de l'Ă©ducation L'instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et Ă©trangers, entre six ans et seize ans. » ; qu'aux termes de l'article D 131-5 du mĂȘme code Les personnes responsables d'un enfant soumis Ă  l'obligation scolaire dĂ©finie Ă  l'article L. 131-1 doivent le faire inscrire dans un Ă©tablissement d'enseignement publie ou privĂ©, ou bien dĂ©clarer au maire et Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, directeur des services dĂ©partementaux de l'Ă©ducation nationale, qu'elles lui feront donner l'instruction dans la famille. Dans ce cas. il est exigĂ© une dĂ©claration annuelle. Les mĂȘmes formalitĂ©s doivent ĂȘtre accomplies dans les huit jours qui suivent tout changement de rĂ©sidence ou de choix d'instruction» ; qu'aux termes de l'article D211-11 du mĂȘme code Les collĂšges ... accueillent les Ă©lĂšves rĂ©sidant, dans leur zone de desserte. » ; qu'il rĂ©sulte de ces dispositions que les personnes responsables d'un Ă©lĂšve devant suivre un enseignement du premier degrĂ© doivent accomplir les formalitĂ©s en vue de son inscription dans un collĂšge au plus tard dans les huit jours suivant son changement de rĂ©sidence et que l'administration scolaire est tenue de l’inscrire dans le collĂšge desservant la zone de sa nouvelle rĂ©sidence ConsidĂ©rant que M. X fait valoir qu'il avait informĂ©, par un courrier en date du 15 juin 2009 rĂ©ceptionnĂ© le 16 juin 2009, le principal du collĂšge 2 nouvelle Ă©cole » qu'il s'opposait Ă  l'inscription de ses enfants sur les listes de l'Ă©tablissement et qu'ainsi, c'est en mĂ©connaissance des dispositions prĂ©citĂ©es de l'article 372-2 du code civil prĂ©citĂ©es que la dĂ©cision d'inscription scolaire de ses enfants a Ă©tĂ© prise ; qu'il ressort toutefois des piĂšces du dossier qu'Ă  la date de la dĂ©cision attaquĂ©e le juge aux affaires familiales avait par dĂ©cision en date du 31 juillet 2009 dĂ©boutĂ© M. X de sa demande tendant Ă  se voir transfĂ©rer la rĂ©sidence de ses deux enfants, suite au dĂ©mĂ©nagement de leur mĂšre ; qu'il ressort des piĂšces versĂ©es au dossier que les enfants de M. X et de Mme Y sont soumis a l'obligation de scolaritĂ©, Ă©tant tous les deux ĂągĂ©s de moins de seize ans, et qu'ils devaient entrer respectivement en classe de X et X au titre de l'annĂ©e scolaire 2009-2010 ; qu'il ne rĂ©sulte d'aucune disposition lĂ©gislative ou rĂ©glementaire que l'inscription d'un Ă©lĂšve dans un Ă©tablissement scolaire soit soumise Ă  la condition prĂ©alable de sa radiation des listes de l’établissement antĂ©rieurement frĂ©quentĂ© par cet Ă©lĂšve ; que, dans ces circonstances, le principal du collĂšge de CollĂšge 2 nouvelle Ă©cole » Ă©tait tenu d'inscrire les enfants de M. X dans son Ă©tablissement ; Sur les conclusions aux fins d'indemnitĂ©s ConsidĂ©rant, d'une part, qu'en l'absence d'illĂ©galitĂ© fautive, les conclusions de M. X tendant Ă  la condamnation de l’Etat Ă  lui payer une indemnitĂ© de euros Ă  titre de dommage et intĂ©rĂȘts en rĂ©paration du prĂ©judice subi du fait de la dĂ©cision d'inscription de ses deux enfants au collĂšge 2 nouvelle Ă©cole » doivent ĂȘtre rejetĂ©es ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article R. 421-1 du code de justice administrative Sauf en matiĂšre de travaux publics, la juridiction ne peut ĂȘtre saisie que par voie de recours formĂ© contre une dĂ©cision, et ce, dans les deux mois Ă  partir de la notification ou de la publication de la dĂ©cision attaquĂ©e.» ; que M. X n'a pas saisi l'administration d'une demande prĂ©alable tendant Ă  l'octroi d'une indemnitĂ© avant d'introduire son recours contentieux que le recteur de l'acadĂ©mie d'Amiens, dans son mĂ©moire en dĂ©fense, fait valoir que les conclusions indemnitaires de la requĂȘte sont irrecevables en l'absence de demande prĂ©alable et n'a pas conclu au fond ; que dĂšs lors, le contentieux n'Ă©tant pas liĂ©, les conclusions de la requĂȘte tendant Ă  la condamnation de l’Etat au titre du prĂ©judice qui rĂ©sulterait pour M. X de la dĂ©cision de radiation de ses deux enfants ne sont pas recevables et doivent ĂȘtre rejetĂ©es ; Sur les conclusions tendant Ă  l’application des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative ConsidĂ©rant qu'il y a lieu, en application des dispositions sus visĂ©es de l'article L. 761-1 du code de justice administrative, de condamner l’Etat Ă  verser Ă  M. X la somme de 1 000 euros au titre des frais qu'il a exposĂ©s non compris dans les dĂ©pens ; DÉCIDE Article 1er La dĂ©cision de radiation des deux enfants de M. X prise par le principal du collĂšge COLLEGE 1 » est annulĂ©e. Article 2 la requĂȘte n°1002000 prĂ©sentĂ©e par M. X est rejetĂ©e. Article 3 L’Etat versera Ă  M. X une somme de mille euros 1000 euros au titre de l’ article L. 761-1 du code de justice administrative. Article 4 le surplus des conclusions des deux requĂȘtes est rejetĂ©. Article 5 Le prĂ©sent jugement sera notifiĂ© Ă  M. X et au ministre de L’éducation nationale. Copie en sera adressĂ©e au rectorat de l'acadĂ©mie de Rouen et au rectorat de l'acadĂ©mie d'Amiens. DĂ©libĂ©rĂ© aprĂšs l'audience du 30 septembre 2010, Ă  laquelle siĂ©geaient M. Aupoix. prĂ©sident,M. Guillou, premier conseiller, Mme Faurre. conseiller, Lu en audience publique le 21 octobre 2010. La RĂ©publique mande et ordonne au ministre de l'Ă©ducation nationale, en ce qui le concerne et Ă  tous huissiers de justice Ă  ce requis en ce qui concerne les voies de droit commun contre les parties privĂ©es, de pourvoir Ă  l'exĂ©cution du prĂ©sent arrĂȘt. Vous faites l'objet d'impositions annuelles distinctes et devez produire chacun une dĂ©claration de vos propres revenus uniquement l'annĂ©e du mariage ou de la conclusion du PACS si vous optez de maniĂšre irrĂ©vocable pour une imposition sĂ©parĂ©e; lorsque vous ĂȘtes sĂ©parĂ©s de biens et ne vivez pas sous le mĂȘme toit ; en instance de sĂ©paration de corps ou de divorce, lorsque vous avez Ă©tĂ© autorisĂ©s Ă  avoir des rĂ©sidences sĂ©parĂ©es ; en cas d'abandon du domicile commun par l'un ou l'autre des Ă©poux et partenaires de PACS, lorsque chacun dispose de revenus professionnels ou patrimoniaux distincts c du 4 de l’article 6 du Code GĂ©nĂ©ral des ImpĂŽts. Dans ces situations l'imposition distincte des Ă©poux est applicable de plein droit, Ă  compter de l'annĂ©e de la sĂ©paration. Chacun des Ă©poux, partenaires, anciens Ă©poux ou anciens partenaires liĂ©s par un PACS est alors personnellement imposable pour les revenus dont il a disposĂ© pendant l'annĂ©e ainsi que pour la quote-part des revenus communs lui revenant. A dĂ©faut de justification de cette quote-part, ces revenus communs sont partagĂ©s en deux parts Ă©gales entre les Ă©poux, partenaires, anciens Ă©poux ou anciens partenaires liĂ©s par un PACS. La dĂ©finition des revenus personnels et des revenus communs, les modalitĂ©s de leur rĂ©partition et la justification de leur nature sont prĂ©sentĂ©es au BOI-IR-CHAMP-20-20-20. Epoux ne vivant pas sous le mĂȘme toit L'habitation sĂ©parĂ©e des Ă©poux doit rĂ©sulter d'une rupture effective du foyer et non de l'Ă©loignement temporaire et accidentel des intĂ©ressĂ©s. La sĂ©paration de fait peut ĂȘtre justifiĂ©e par la production d'une main courante d'abandon du domicile commun dĂ©livrĂ©e par le commissariat ou de la preuve de deux adresses distinctes certificat de propriĂ©tĂ©, contrat de location, attestation sur l'honneur de l'hĂ©bergeant. Revenus distincts Ne constituent pas des revenus professionnels ou patrimoniaux distincts les sommes versĂ©es en exĂ©cution de l'obligation de secours entre Ă©poux qui dĂ©coule des articles 212 Ă  214 du Code civil. Partenaires liĂ©s par un PACS De mĂȘme, les personnes liĂ©es par un Pacs ou par un partenariat civil Ă©tranger sont imposĂ©es distinctement et doivent donc effectuer des dĂ©clarations sĂ©parĂ©es dans les situations suivantes en cas de rupture du Pacs. si elles rĂ©sident sĂ©parĂ©ment et sont placĂ©s sous le rĂ©gime de la sĂ©paration des biens PACS conclus depuis le 01/01/2007 ou sous un rĂ©gime conventionnel Ă©quivalent PACS conclus antĂ©rieurement. si l'un ou l'autre des partenaires a abandonnĂ© le domicile commun et chacun d'eux dispose de revenus distincts ; MAJ le 12/07/2022 De ce fait, tout comme il faut dĂ©clarer un concubinage, il n'existe aucun document officiel Ă  ce sujet et une attestation sur l'honneur de sĂ©paration peut alors vous ĂȘtre demandĂ©e lors de dĂ©marches administratives notamment si vous ĂȘtiez dans une location en concubinage, par exemple. Demande d'autorisation spĂ©ciale d'absence pour garde d'enfant - Attestation sur l'honneur. Prenant la forme d'un recueil de poĂ©sie, de par son texte dĂ©coupĂ© en courtes lignes Ă©vocatrices, parfois rimĂ©es, centrĂ©es sur la page, ce roman rĂ©unit des souvenirs trĂšs vifs de l'enfance du narrateur, qui expriment les moments ... CĂ©lina62,le 7 fĂ©vrier 2013 dans Personne et Famille. Éclaircissements. > Toutes les rubriques. Spodnie zestawiane są z bƂękitnymi lub beĆŒowymi koszulami. A l’ouverture de la session parlementaire 2014-2015, le PrĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale Claude Bartolone a proposĂ© que soit mis en place un groupe de travail pluraliste sur l’avenir des institutions, afin de mener une rĂ©flexion ... DĂ©clarer ma sĂ©paration La dĂ©claration de sĂ©paration concerne les personnes vivant en couple, qu'elles soient mariĂ©es, pacsĂ©es ou en concubinage. AppelĂ© aussi attestation sur l'honneur de sĂ©paration », c'est un document attestant que le couple ne souhaite plus vivre sous le mĂȘme toit et qu'un des conjoints a donc dĂ©cider de quitter le domicile. Attestation sur l'honneur de sĂ©paration Attestation Ă  remplir uniquement si les parents sont sĂ©parĂ©s et qu'aucun jugement n'ait Ă©tĂ© encore prononcĂ© Je soussignĂ©e Madame/Mademoiselle/Monsieur 1 NĂ©e le ___ / ___ / _____ Ă  DomiciliĂ©e DĂ©clare sur l'honneur ĂȘtre sĂ©parĂ©e du pĂšre / de la mĂšre 1 de mon / mes . AppelĂ© aussi attestation sur l'honneur de sĂ©paration », c'est un document attestant que le couple ne souhaite plus vivre sous le mĂȘme toit et qu'un des conjoints a donc dĂ©cider de quitter le domicile. ATTESTATION SUR L'HONNEUR Je, soussignĂ©e _____ NĂ©e le _____ Fils Fille de Il n'est pas rare de devoir rĂ©diger une attestation sur l'honneur. PrĂ©paration de l'attestation sur l'honneur de l'assistante maternelle attestant des heures non-effectuĂ©es, en cas de recours au chĂŽmage partiel. Et savoir si je serai appelĂ©e au tribunal pour tĂ©moigner ? Voici une dĂ©claration sur l'honneur type, tĂ©lĂ©chargeable gratuitement. nous soussignons dĂ©clarent sur l'honneur que modĂšles de lettres pour garde alternee amiable avec conseils intĂ©grĂ©s Ă  tĂ©lĂ©charger sur modĂšles de lettres. Szyję zdobią jednolite krawaty. Si . A remplir uniquement en cas de sĂ©paration ou attente du jugement fixant le lieu de rĂ©sidence de ou des enfants ainsi que le mode de garde. Les parents non mariĂ©s qui se sĂ©parent peuvent fixer d'un commun accord la garde des enfants dans une convention signĂ©e par le pĂšre et la mĂšre garde alternĂ©e, garde exclusive, rĂ©sidence de l'enfant chez un tiers, droit de visite, etc.. ModĂšle d'attestation sur l'honneur. Pour l'essentiel, il s'agit d'une attestation sur l'honneur, c'est-Ă -dire d'un document probatoire qui doit ĂȘtre Ă©tabli . Ce livre a pour objet l'histoire des discussions relatives Ă  l'enseignement universitaire en Belgique, depuis la suppression de l'ancienne universitĂ© de Louvain en 1797 jusqu'Ă  la promulgation des lois organiques sur l'enseignement ... Ma fille a Ă©tĂ© rouĂ©e de coups, il s'est acharnĂ© sur elle. Motif familial impĂ©rieux, assistance aux personnes . Vous serez alertĂ©e par courriel dĂšs . L'autre parent dispose d'un droit de visite et d'hĂ©bergement. ModĂšle d'attestation sur l'honneur type. Attestation de sĂ©paration avant divorce. Le mariage et le Pacs sont . En cas de sĂ©paration, les 2 parents sont indiquĂ©s comme Ă©tant Ă  prĂ©venir en cas d . À l'inverse, une attestation de sĂ©paration est utile pour rĂ©tablir votre statut de cĂ©libataire. DĂ©clarent avoir l'autoritĂ© parentale commune sur le ou les enfants PrĂ©nom ou prĂ©noms et nom. ATTESTATION SUR L'HONNEUR DE SÉPARATION ET DE GARDE ALTERNÉE Je Madame Monsieur _____ Demeurant _____ Atteste sur l'honneur ĂȘtre sĂ©parĂ©e et avoir la garde alternĂ©e de l'enfant _____ Avec Madame Monsieur _____ Demeurant _____ ModalitĂ©s de la garde alternĂ©e Une semaine / une semaine MoitiĂ© de semaine / moitiĂ© de semaine Deux semaines / deux semaines Autre . Pomimo warstwowoƛci i licznych dodatkĂłw, strĂłj w stylu angielskim nie jest Dans la majoritĂ© des cas, il vous sera demandĂ© une attestation sur l'honneur datant de moins de 3 mois. Vous pourrez ĂȘtre amenĂ© Ă  la rĂ©diger en cas de mise en concubinage, en cas de sĂ©paration ou/et de divorce ou encore pour certifier de votre domicialisation. L'attestation sur l'honneur de sĂ©paration que nous vous proposons de personnaliser permet de fournir Ă  l'administration ou Ă  une compagnie d'assurance un document par lequel vous certifiez ĂȘtre sĂ©parĂ©, ce qui peut vous ouvrir des droits ou des avantages. Bail, mobile, tĂ©lĂ©phone, assurance, mutuelle, voiture . Liens relatifs Liens . Éclaircissements. NĂ©e le . parents en cours de sĂ©paration ou parents sĂ©parĂ©s en union libre. De mĂȘme en cas de sĂ©paration de parents non mariĂ©s, des attestations pourront ĂȘtre versĂ©es aux dĂ©bats notamment lorsque les parents ne s'entendent pas sur les meurs concernant les enfants. Attestation de garde alternĂ©e. Au choix selon le cas Notre sĂ©paration a lieu le [date de la sĂ©paration]. Voici un modĂšle de lettre qui vous permettra de fournir un tel document Ă  adapter en fonction de la demande. Mon amie a des photographies des biens et elle avait l'intention de les joindre au dossier. 28 jours d'hĂŽpital ma fille Ă©tait terrorisĂ©e. Le pacte de sĂ©paration amiable pour mettre fin Ă  la vie commune avant le divorce. la loi n'encadrant pas l'union libre, est-ce bien nĂ©cessaire, et obligatoire ? En cas de sĂ©paration des parents, la garde et l'hĂ©bergement des enfants peuvent ĂȘtre confiĂ©s Ă  l'un d'eux, avec octroi d'un droit de visite Ă  l'autre. Souvent, on ne vous dĂ©livrera pas de document officiel, il vous sera alors demandĂ© de rĂ©diger une attestation sur l'honneur. n'avez vous pas vous ou votre amie de photographies ou videos prises dans ces lieux et sur lesquels ont distinguerait ces objets ? Die Reihe Corpus Scriptorum Ecclesiasticorum Latinorum CSEL umfasst philologisch abgesicherte, kritische Editionen lateinischer Texte der christlichen SpĂ€tantike von Tertullian bis Beda Venerabilis und erschließt damit Werke der ... 1/ le mode de garde alternĂ© une semaine sur deux est choisi par plus de 85 % des couples Ă  l'heure actuelle. Le Lexique des termes juridiques 2015 est un ouvrage gĂ©nĂ©raliste permettant un accĂšs complet et large Ă  toutes les dĂ©finitions, aux concepts et notions clĂ©s de tous les domaines du droit, qu'il s'agisse du droit privĂ© ou du droit ... Ce sont les informations sur exemple d attestation de moralitĂ© gratuit que l'administrateur peut collecter. © 2000-2021 NET-IRIS, une marque de JuriTravail, sociĂ©tĂ© du Groupe MyBestPro. Sauf si vous avez vu que certains objets Ă©taient signĂ©s ou d'une provenance de qualitĂ©, dument estampillĂ©e sur l'objet lui-mĂȘme, bien sur.. faites votre declaration sur ce document et joignez y une piĂšce d'identitĂ©, - Message ajoutĂ© Ă  11h27 - PrĂ©cĂ©dent message Ă  11h25 -, Merci Cmarcus pour le document je vais l'imprimer . Exemple d'attestation sur l'honneur ModĂšle de lettre. TrouvĂ© Ă  l'intĂ©rieur – Page 895Quand il Quence , appuyĂ©e par de nombreux et d'eloquents dĂ©fenseurs indĂ©pendamment des garde sa foi , pourquoi donc ... la diflame de toutes parts ? est - ce le plus profond vous avertit de ne point proscrire la sĂ©paration de corps . Desenie będące jego znakami rozpoznawczymi to szkockie kraty, wzory typu Shetland, romby, jodeƂki czy pepitki. Bon Ă  savoir Les deux conjoints Ă©tant tenus de participer aux dĂ©penses qui dĂ©coulent du mariage, l'accĂšs aux aides de la Caf reste soumise Ă  certaines conditions. Dans le cas de sĂ©paration de parents pacsĂ©s ou concubins, les parents se mettent d'accord sur le mode de rĂ©sidence de l'enfant. Le pacte de sĂ©paration amiable pour mettre fin Ă  la vie commune avant le divorce. Exemple d' attestation de moralitĂ© pour la garde des enfants divorce parents 
. L'attestation de sĂ©paration n'est pas encadrĂ©e par la loi et c'est un document qui peut revĂȘtir diffĂ©rentes formes pourvu que certains Ă©lĂ©ments y figurent. Qu'est-ce que ces ĂŒSwiss National Science Fundation 1/1 ĂŒĂŒĂŒĂŒLanguage of the publication Title of the series Number within the series ISSN of the series Number of pages Rights CC license* Link to webshop* Funding organizations* ... Document demandĂ© il y a 14 ans Actif il y a 13 ans 3 documents Envoyer un document. Articles 441-1 Ă  441-12 du Code pĂ©nal. Ce sujet est dĂ©sormais archivĂ© et ne peut plus recevoir de nouvelles rĂ©ponses. 1° Soit par une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique ou chargĂ©e d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ; 2° Soit de maniĂšre habituelle ; 3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunitĂ© Ă  son auteur. Si vous ne souhaitez pas ou ne pouvez pas modifier le document ci-dessus via un logiciel de traitement de texte, le JDN vous propose Ă©galement de tĂ©lĂ©charger le modĂšle d'attestation sur l'honneur au format PDF en cliquant sur le bouton ci-dessous, puis de l'imprimer, et de complĂ©ter Ă  la main les . In his grotto and garden concepts, Bernard Palissy 1510–1590 developed the veristic "style rustique". Je voulais savoir comment ĂȘtre sĂ»r que mes enfants sont Ă  l'abri de leur mĂšre. de procĂ©dure civile Vous souhaitez obtenir la fixation ou la modification des conditions d'exercice de l'autoritĂ© parentale, du droit de visite et d'hĂ©bergement, de la pension alimentaire ou de la rĂ©sidence habituelle de vos enfants. Rediger et signer une attestation sur l'honneur engage votre responsabilitĂ© en cas de fausse dĂ©claration condamnable d'un an d'emprisonnement et de 15 000€ d'amende, voire 3 ans de prison et 45 000€ en cas d'intention de nuire. TrouvĂ© Ă  l'intĂ©rieur – Page 772255 ; garde re , Mipule . conseil judiciaire InsolvabilitĂ©288-40 . ... vi- Separation de biens Testament 241 ; acte noraire ; per- deliberation , limi- noraires , salaires raire , Ordonnance tion , banque , cour sa , dep 301 s . Voici un modĂšle de lettre qui vous permettra de fournir un tel document Ă  adapter en fonction de la demande. ayant une valeur. Fait pour servir et valoir ce que de droit ConformĂ©ment Ă  l'Article 441-7 nous vous rappelons qu'est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende le fait 1° D'Ă©tablir une attestation ou un certificat faisant Ă©tat de faits matĂ©riellement inexacts ; 2° De falsifier une attestation ou un certificat originairement sincĂšre ; 3° De faire usage d'une attestation ou d'un . - Attestation assurance de l'enfant en resp. Cela Ă©tant, si l'un des parents souhaite revenir sur cette dĂ©cision amiable, c'est le jugement exĂ©cutoire de la sĂ©paration qui doit . Adoption. Les peines sont portĂ©es Ă  trois ans d'emprisonnement et Ă  45 000 euros d'amende lorsque l'infraction est commise en vue de porter prĂ©judice au TrĂ©sor public ou au rĂ©sidence fixĂ©e par le jugement de divorce ou Ă  dĂ©faut par l'attestation sur l'honneur des parents rĂ©glant les modalitĂ©s de garde de l'enfant En cas de rĂ©sidence alternĂ©e, la 2Ăšme adresse mentionnĂ©e sur le titre sera _____ 2/ le titre une fois produit sera transmis Ă  la mairie du lieu de dĂ©pĂŽt et remis au reprĂ©sentant lĂ©gal de l'enfant citĂ© ci-dessous M. / Mme_____, pĂšre . Voici un modĂšle d'attestation sur l'honneur. de sĂ©paration mentionnant les conditions d'exercice de l'autoritĂ© parentale. exemple de recommandation ou d'attestation de moralitĂ© divorce des parents.attestation de garde alternee. WspóƂczesną popularnoƛć stylu angielskiego zawdzięczamy zwƂaszcza powrotowi wszelkiego rodzaju kratek. Ce service de gĂ©nĂ©ration d'attestation sur l'honneur est facturĂ© 2,50 € TTC. L'attestation de tĂ©moin est obligatoirement une lettre manuscrite et signĂ©e. WEBINAR le 16 novembre Handicap en entreprise, tous mobilisĂ©s ! Est considĂ©rĂ©e comme garde exclusive un mode de garde oĂč l'enfant passerait plus . gratuitement TrouvĂ© Ă  l'intĂ©rieur – Page 772255 ; garde re , Minule . conseil judiciaire InsolvabilitĂ©288-40 . dĂ©finition 277 s .; 148s .; dĂ©ces ... V. Ho- communication de 176 ; droits , ho- Discipline , Hono diverses spĂ©cula- parfait , brevet , vi- Separation de ... Attestation de sĂ©paration. Je, soussignĂ©e [Nom, PrĂ©nom], nĂ©e le [date] Ă  [Lieu], demeurant au [adresse exacte], certifie sur l'honneur [prĂ©ciser le sujet et les faits de l'attestation]. Son cabinet d'avocats vous conseille et vous assiste dans toutes les procĂ©dures, Ă  l'amiable comme en contentieux. parents en cours de sĂ©paration ou parents sĂ©parĂ©s en union libre. Ce formulaire ne peut pas ĂȘtre utilisĂ© pour demander le divorce ou la sĂ©paration de corps, une Droit de la famille - Avocat Ă  Roquebrune-sur-Argens et Cogolin Avocat Ă  Roquebrune-sur-Argens et Cogolin, MaĂźtre Elodie Gigant traite les affaires liĂ©es Ă  la sphĂšre familiale. Article 441-7 du code . Non je ne suis pas experte ni antiquaire, par contre son mari frĂ©quentait beaucoup d'antiquaires et achetait tous ces objets lors de salons ou de brocantes ... Je sais que mon amie aurait du faire venir un huissier mais son avocate ne lui a pas conseillĂ©e ! » - conformĂ©ment Ă  l'article 441-6 du Code pĂ©nal Bonjour, J'ai besoin d'un modĂšle de lettre pour mari de mon amie veut rĂ©cupĂ©rer ses 2 enfants et avoir la garde les Ă©lĂšve depuis plus de 4 ans toute seule, elle a changĂ© de travail pour se rapprocher d'eux, elle n' a personne dans sa vie, les enfants sont heureux et en bonne santĂ© . Une prime de dĂ©mĂ©nagement ; Une aide Ă  la garde d'enfants pour parents isolĂ©s Agepi. Na co dzieƄ dominują kraciaste chinosy lub odwaĆŒne bryczesy. Je souhaiterais obtenir un modĂšle-type d'attestation sur l'honneur de garde partagĂ©e Ă  l'amiable Ă  faire valoir pour nos administrations et pour toute dĂ©marches administratives autres . Attention l'attestation sur l'honneur de faits mensongers ou inexacts est punie par la loi articles 441-1 Ă  441-12 du Code pĂ©nal. Vu sur En matiĂšre de divorce, les tĂ©moins ne sont pas entendus. Preferowany jest ubiĂłr warstwowy. TrouvĂ© Ă  l'intĂ©rieur – Page 895Celles de la sĂ©paration n'ont rien qui les distingue des autres actions civiles Ă©poux qui manquent aux conditions ... dĂ©fenseurs indĂ©pendamment des garde sa foi , pourquoi donc celle de son associĂ© serait - elle dĂ©gagĂ©e ? et oĂč serait ... Pour vous abonner aux mises Ă  jour des pages vous devez activer votre espace personnel. Mon fils a fait une attestation de tĂ©moignage et s'est trompĂ© sur un point de cette attestation comme la partie adverse en a fait Ă©tat. Przekonajmy się, jak wyglądają aktualne inspiracje stylem angielskim i co w swojej garderobie powinien mieć kaĆŒdy elegancki angielski idealnie komponuje się z kolekcjami jesienno-zimowymi, choć coraz odwaĆŒniej zarysowuje się rĂłwnieĆŒ w jasnych ubiorach wiosenno-letnich. format .pdf, Lettre gratuite ! Le lien parental conduit donc Ă  poser une rĂšgle de dĂ©volution ce qui importe est de dĂ©terminer la personne apte Ă  Ă©lever l'enfant. L'attestation de sĂ©paration de fait n'a aucun effet juridique, mais peut ĂȘtre . Separation concubin sous meme toit - droit - enfants - logement - garde, liquidation de bien Ă  55/45- part d'emprunt + salaires de la communautĂ©. Notion plurale, la source des obligations se dĂ©compose en source formelle, source technique et source substantielle. Il n'est pas rare de devoir rĂ©diger une attestation sur l'honneur. Versions Versions. ModĂšle de dĂ©claration sur l'honneur du lieu de rĂ©sidence de l'enfant - LETTRE TYPE DE DECLARATION SUR L'HONNEUR DE DOMICILE POUR UN ENFANT Afin de justifier que votre enfant mineur est Ă  votre charge et vit bien chez vous, vous devez fournir une dĂ©claration sur l'honneur qui indique son lieu de rĂ©sidence. Les parents s'accordent Ă  l'amiable. Ce mode de garde doit cependant correspondre Ă  l'intĂ©rĂȘt de l'enfant. Vous pourrez ĂȘtre dans l'obligation de la rĂ©diger pour rĂ©guler vos documents administratifs. Il aurait pu la tuer. ModĂšles de lettres rĂ©siliation. modĂšle gratuit de lettre pour tĂ©moigner en faveur du pĂšre ou de la . Tous droits rĂ©servĂ©s. Les attestations contiennent la relation des faits auxquels son auteur a assistĂ© . Il s'agit donc d'un contrat avantageux pour les couples dont l'un des membres exerce une activitĂ© indĂ©pendante et dont l'Ă©cart de . Nom prĂ©nomAdresseCode postal VilleN° de tĂ©lĂ©phone Destinataire Adresse Code postal Ville Elle est soumise Ă  des conditions de forme . L'article attestation garde exclusive est apparu en premier sur Modele et exemple de lettre. Rechercher les rĂ©sultats qui contiennent
. Ainsi, si vous Ă©tiez en concubinage et que vous vous retrouvez seul, vous pouvez rĂ©diger une attestation de sĂ©paration pour Ă©tablir le fait que vous ĂȘtes Ă  prĂ©sent sĂ©parĂ© de votre concubin ou de votre concubine. DiabĂšte Type 2 Insulino-dĂ©pendant, Restaurant Rapide Alençon, Sauce Pour Volaille Thermomix, Tarte Au Roquefort Lardons, Cadillac Eldorado 1964, Palindrome DĂ©finition, Recommended For You. PRA is a leading authority in the ICT recruitment industry in Australia, with an excellent track record in the provision

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