Crééen 1995, le collectif « De l’éthique sur l’étiquette » regroupe des associations de solidarité internationale, de collectivités locales, des syndicats, des mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Depuis septembre 2007, le
Participation à la réflexion sur la stratégie de plaidoyer en faveur des droits des femmes et de l’égalité femmes-hommes L'éthique plutot que l'étiquette L'éthique plutot que l'étiquette est un mouvement citoyen national visant à promouvoir l'éthique en politique. Aix-en-Provence. Salomé Hembert Étudiant à Sciences Po Lyon - Institut d'études politiques Lille
NaylaAjaltouni (Collectif Ethique sur l’étiquette) Relectures et contributions : Chloé Stevenson (ActionAid France-Peuples Solidaires) Lorette Philippot et Lucie Pinson (Amis de la Terre France) Sandra Cossart (Sherpa) Correction : Élisabeth Maucollot Graphisme : Antoine Guinet Date de publication : février 2019. 4 6 20 INTRODUCTION PARTIE 1. PARTIE 2. Bilan général des plans
Interviewde Jacques Puhl, coordinateur du collectif Éthique sur l'étiquette pour Dijon Métropole, regroupant une dizaine de membres actifs et
LeCollectif Éthique sur l'étiquette vous invite à participer à un temps d'échanges le mardi 22 février, de 17h à 18h30. Inscrivez-vous au Mooc Jardiner avec le vivant ! Gratuit !
LÉTHIQUE : QUELQUES DÉFINITIONS Par Margot Phaneuf, inf,. PhD. Révisé en octobre 2012 En soins infirmiers, de nombreuses situations ont des implications sérieuses et les décisions qui sont prises doivent être considérées sous l’angle de l’éthique. Dans certaines situations, on se demande sur quoi
. Travail forcé des Ouïghours "Nous comptons sur l’action citoyenne pour faire pression sur les enseignes"publié le 29/03/2022Nayla Ajaltouni est coordinatrice d'Éthique sur l’étiquette, un collectif qui agit en faveur du respect des droits humains au travail, notamment dans l’industrie textile. Elle nous parle de l'exploitation des Ouïghours, pour la production de coton et la fabrication de vêtements dans la région autonome du Xinjiang, en Chine. Depuis 1995, le collectif Éthique sur l'étiquette agit pour "mondialiser les droits humains au travail", en demandant aux entreprises de veiller aux conditions de production des marchandises qu'elles commercialisent. Le collectif, qui agit aussi en faveur de "la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats", est composé d'associations de solidarité internationale, de syndicats, de mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Nayla Ajaltouni coordonne les campagnes d'Éthique sur l'étiquette. Elle a répondu à nos questions sur le travail forcé des Ouïghours. Quels sont les liens entre l’industrie textile et l’exploitation des Ouïghours ? N. A. Dès 2019, des journalistes et des chercheurs ont documenté le travail forcé des Ouïghours - une minorité turcophone et de religion musulmane, ciblée par Pékin - dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, en Chine. Cette région héberge de nombreuses usines de l’industrie textile, de fabrication de vêtements, mais aussi des champs de coton. Cette région produit environ 20% du coton mondial. En fait, il est possible qu’un vêtement sur 5 dans le monde contienne du coton récolté dans cette région, ou ait été fabriqué dans une usine dans laquelle il y a du travail marques de textile sont concernées ?N. A. C’est très difficile de répondre précisément à cette question. Car il est impossible de mener l’enquête sur place. Un vêtement sur 5, finalement ça concerne énormément de marques... Elles sont liées au travail forcé via leurs sous-traitants chinois. Au sein du collectif Éthique sur l’étiquette, nous ciblons toutes les grandes enseignes d’habillement, comme Nike, Zara, Shein… En France nous avons même décidé de porter plainte, et une enquête a été ouverte contre 4 multinationales de l’habillement Inditex maison mère de Zara, Uniqlo, SMCP propriétaires de Sandro, Maje... et Sketchers chaussures de sport. Ces groupes sont accusés d’être complices de graves crimes. Nous avons pu déposer cette plainte car nous avions suffisamment de preuves concrètes de leurs liens commerciaux avec des unités de production de la région. Le but est d’interpeller et de faire pression sur toutes les plusieurs marques ont déjà nié avoir des liens avec la région, car elles ne regardent que leurs fournisseurs de rang 1. Même si certaines ont déclaré qu’elles allaient couper tout lien avec la région, ça ne veut pas dire qu’elles vont le faire. De son côté, la Chine a appelé au boycott de certaines enseignes. Dans la foulée, Inditex a retiré sa déclaration condamnant le travail forcé, cela montre qu’ils n’ont pas beaucoup de scrupules. H&M par contre a maintenu sa condamnation et n’a pas cédé au chantage. Que peut-on faire en tant que citoyen et consommateur ? N. A. Nous comptons beaucoup sur l’action citoyenne pour interpeller et faire pression sur les enseignes, via les réseaux sociaux par exemple ou en relayant les actions menées par les associations. Nous faisons partie, avec plus de 180 organisations au niveau international, de la "Coalition pour mettre un terme au travail forcé dans la région ouïghoure". Sur le site de la Coalition, il y a une liste d’actions menées en ce moment, et nous avons besoin du soutien des citoyens pour faire connaître ces engagements. Chloé CohenJournaliste engagéeChloé Cohen est journaliste et créatrice du podcast Nouveau Modèle sur la mode responsable. Après 3 années passées à New York comme correspondante, Chloé s’est spécialisée dans les problématiques environnementales et sociales de l’industrie associés à l’article
Cet article date de plus de neuf ans. Suite à l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à plus de 1100 employés, des géants de l'habillement ont signé un accord sur la sécurité des usines au Bangladesh. Mais les conditions de travail des ouvriers du textile ne sont pas forcément meilleures ailleurs. Les consommateurs ont le pouvoir de faire évoluer la situation. Article rédigé par Publié le 17/05/2013 0850 Mis à jour le 09/05/2014 2331 Temps de lecture 1 min. Où et dans quelles conditions sont fabriqués les vêtements que nous portons ? Chine, Inde, Cambodge, Bangladesh, la lecture des étiquettes pourrait ressembler à une invitation au voyage... un voyage dans l'enfer d'ateliers insalubres. Au Cambodge, les femmes sont si peu payées qu'elles ne peuvent pas se nourrir correctement, et perdent régulièrement connaissance sur leur lieu de travail. Au Bangladesh, dans des centaines d'usines, les ouvriers du textile, pour répondre à la demande, peuvent travailler jusqu'à 90 heures par semaine, pour des salaires de misère. Depuis près de 20 ans, le Collectif Éthique sur l'étiquette se bat pour que les droits de ses travailleurs soient respectés, et pour qu'ils soient rémunérés décemment. Le Collectif Éthique sur l'étiquette rassemble une vingtaine d'associations et de mouvements de consommateurs . Il appartient est la branche du réseau européen Clean Clothes Campaign. Suite a l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à des centaines d'ouvriers du textile, et suite à la signature d'une pétition par plus d'un million de consommateurs à travers le monde, la plupart des grandes marques internationales de l'habillement se sont engagées en faveur de la sécurisation des usines. En France Carrefour est la première marque à avoir signé cet accord.
Le collectif corrézien de l’Éthique sur l’étiquette vous recommande de voir le reportage Fast fashion – les dessous de la mode à bas prix, disponible en replay sur Arte jusqu’au 6 juin 2021 en suivant ce lien. Vous y apprendrez les méthodes diaboliques mises en œuvre par Inditex Zara, Bershka, etc. et les nouvelles marques de la mode jetable pour tenter de vous faire acheter des habits compulsivement. Méthodes insoutenables pour la planète pollutions de l’air, des eaux superficielles et souterraines, production massive de déchets ,certains habits ne seront jamais portés ! et inhumaines pour les ouvrières et les ouvriers du textile de l’Inde au Royaume-Uni, en passant par le Bangladesh et la constats déplorables renforcent l’importance et l’urgence de la création d’un cadre réglementaire international contraignant pour les entreprises multinationales du secteur textile et de toutes celles à l’origine de très graves violations des droits humains et environnementaux secteurs de l’armement, de l’agroalimentaire, extractif, etc.. C’est dans ce contexte que le parlement européen s’est prononcé à une large majorité en faveur du rapport de Mme Wauters le 11 mars 2021. L’adoption de ce rapport est une étape symbolique dans l’élaboration de la directive européenne relative au devoir de vigilance des entreprises multinationales pour le respect des droits humains et environnementaux. C’est désormais à la commission européenne de publier le projet de directive avant la fin de cet été. Pour plus d’information sur ces travaux, le collectif corrézien vous invite à lire le communiqué de presse national disponible à ce lien. Il est urgent de tourner radicalement le dos à ce modèle de production et de consommation. Il est impératif de dénoncer les agissements des acteurs de la Fast fashion. Et dans ce domaine, le meilleur achat en termes d’habits neufs est celui que vous n’effectuerez jamais ! Collectif De l’éthique sur l’étiquette de la site nationalcoordinatrice
Manger bio, c’est bien. Mais saviez-vous que 24% de la consommation mondiale d’insecticides est utilisée pour la culture du coton non bio et que l’industrie du textile est le deuxième secteur le plus polluant après l’industrie du pétrole ? Vous l’aurez deviné, une fois n’est pas coutume, je m’apprête à parler chiffons, parce que lire les étiquettes est devenue une urgence sanitaire ! Aussi, laissez-moi vous proposer une petite expérience de quelques minutes à la manière de Benjamin Carle et de son documentaire Made in France. Rendez-vous expressément devant les armoires de vos enfants ou, à défaut, devant la vôtre afin de vous renseigner sur l’origine de la fabrication de ce qui constitue leur garde-robe ». Made in China, made in Bengladesh, made in Malaysia, Made in Pakistan, made in Vietnam, made in Cambodgia… le constat est accablant, mais rassurez-vous, rien n’est irréversible, il est des marques éco-friendly, respectueuses de l’environnement… Reste à chacun de nous de devenir consom’acteur, afin de renverser la vapeur ! Le prix fort de la junk fashion Les ONG le dénoncent régulièrement les mastodontes du textile H&M, Zara, Gap, Monoprix… pour n’en citer que quelques-uns, sous-traitent à tour de bras, collections capsules et petites séries obligent ! Seulement, ces pratiques les privent de tout contrôle sérieux et d’outils de traçabilité ! Saviez-vous, par exemple, qu’en Chine, des enfants coupent les fils dépassant des jeans pour 1,5 centime d’euro par pantalon ? Que parmi les 60 millions de travailleurs de l’industrie textile dans le monde, 68% sont des femmes jeunes, peu qualifiées et des enfants ! Que ces ouvrières travaillent en moyenne 12 heures par jour, six jours sur sept dans des conditions souvent déplorables interdiction de s’absenter plus de 5 minutes, d’aller au toilettes, ni même de parler, locaux insalubres…. Que les teintures et oui ce pantalon bleu pétrole a eu droit à quelques bons bains de trempage ! sont réalisées à partir de produits interdits en Europe par la norme REACH, car elles sont toxiques pour l’environnement et la santé de celles et ceux qui les manipulent et les consommateurs qui les portent ! Enfin, que pour un tee-shirt d’une valeur de 29 euros, seuls 18 centimes sont liés à la confection ?! Et oui, la plupart des vêtements, que portent nos chérubins, sont consommés » à mille lieues de l’endroit où ils ont été fabriqués ! Et si leur prix est cassé, d’autres payent le prix fort de notre dérisoire valse des tendances ! En première ligne, cette main d’œuvre très peu chère, qui ne bénéficie pas de droit du travail et qui passe le plus clair de son temps dans ses usines mouroirs » ! En deuxième ligne, l’environnement à qui l’ont cause des dégâts irréparables à force de déversements de produits chimiques et enfin à notre progéniture, que nous affublons de ces habits non éthiques, soit dit en passant de très mauvaise qualité, ce qui nous conduit, à les renouveler encore plus fréquemment ! Less is more » Comment inverser la vapeur ? En réduisant, dans un premier temps, la penderie de nos petits au strict minimum ! Brocantes, vide-dressings, associations La Croix-Rouge, Emmaüs…, c’est le moment de faire le tri et d’offrir une seconde vie aux vêtements trop petits, ainsi qu’au surplus ! Souvenez-vous, il y a seulement quelques années, LA tenue d’écolier, LE pull chaud, LA veste en laine, LA paire de chaussures costauds… Sans en arriver là , nous devrions pouvoir trouver un compromis, vous ne pensez pas ? Si la plupart des vêtements éthiques sont chers, voire très chers, c’est le prix du respect de celles et ceux qui les confectionnent, des belles matières et de la durabilité les petits prix doivent, à l’inverse, nous alerter sur d’éventuelles mauvaises de conditions de fabrication !. Aussi, mieux vaut vêtir nos enfants de vêtements d’occasion déjà maintes et maintes fois portés et lavés et/ou économiser pour leur offrir quelques pièces neuves de belle facture selon ses possibilités, cela va de soi. S’il est peu de marques de vêtements pour les enfants qui s’engagent, il en est une que j’apprécie plus que toutes pour tous ses efforts La queue du chat. Peut-être connaissez-vous cette marque à la philosophie éco-friendly ? Ses créatrices, Hélène et Anne-Charlotte, qui ont respectivement travaillé dans l’humanitaire et dans la mode décident, en 2005, de s’associer pour créer des vêtements pour les enfants en respectant l’environnement et le bien-être des artisans et prouver ainsi qu’une autre mode est possible ! Elles cherchent tout d’abord une manufacture française, capable de confectionner les vêtements pour enfants qu’elles imaginent, mais voient les portes se fermer devant elles, en raison des quantités infimes qu’elles souhaitent produire. Voyageuses dans l’âme, elles partent en quête d’un atelier de confection travaillant exclusivement avec du coton biologique. Finalement, elles le trouvent dans un petit village situé sur la côte du Gujarat à 150 kilomètres de Bombay. L’ensemble de la chaîne répond aux exigences des droits fondamentaux des employés, en permettant notamment une juste rémunération, l’accès aux postes à responsabilité entre hommes et femmes, la couverture médicale pour les salariés et leur famille L’atelier est, de fait, certifié FLO Fairtrade Labelling Organizations pour le commerce équitable et SA8000 Social Accountability. Cultivé sans pesticide ni engrais chimique et récolté à la main, le coton biologique contribue au bien-être de ceux qui le cultivent. Sa production ne polluant ni l’eau, ni le sol, ni l’air et participant même à l’amélioration de la qualité des sols ! Anallergiques, souples, très épais et doux au toucher, les vêtements proposés par La Queue du chat sont de véritables petits cocons douillets et mignons ! La marque responsable imagine des pièces intemporelles afin de s’extraire, autant que faire se peu, de la saisonnalité qu’impose l’activité et ses fameuses collections printemps/été/automne/hiver. Il lui tient, en effet, à cœur de proposer sur son e-shop, des pièces plus anciennes à petits prix ! Hélène et Anne-Charlotte s’appliquent également à recycler 100% des chutes de tissu, via la création d’accessoires, d’empiècements… Au delà de son engagement équitable, le duo apporte aujourd’hui son soutien à des projets pour la communauté indienne, tel que le paiement du loyer de l’orphelinat de la ville qui jouxte le village dans lequel se situe l’atelier. La marque qui vient de fêter ses 11 ans d’existence, a vu nombre de ses consœurs disparaître, la concurrence étant ce qu’elle est, ce pourquoi, je souhaitais tirer mon chapeau à cette marque à nulle autre pareille et à saluer ses créatrices passionnées pour leur opiniâtreté ! Autre marque responsable que j’apprécie pour sa démarche éthique Coq en pâte ! Les tee-shirts en coton biologique, certifiés GOTS, de la marque bretonne, aux imprimés animaliers », font évidemment le bonheur de mon grand garçon de 6 ans ! Et cette autre jeune marque française, Risurisu, créée par la maman de 6 enfants experte en la matière »! et dont les pièces blouses, pantalons, robes…, certifiées GOTS, confectionnées en Espagne, affichent un côté résolument rétro ! Alors, oui, le prix vêtements peut paraître élever si l’on ne regarde que celui-ci. Seulement quand on sait l’envers du décor, ne vaut-il pas mieux revoir à la baisse ses achats pour encourager la fabrication d’habits plus sûrs et plus sains pour nos enfants et favoriser le développement d’un marché biologique, plus respectueux des cultivateurs comme de l’environnement ? Pour ma part, je privilégie les vêtements d’occasion, avec une prédilection pour les vêtements d’enfants des années 70, merveilleusement coupés et d’une incroyable qualité Etsy et de nombreux sites de seconde-main en proposent, néanmoins je ne suis pas contre une ou deux jolies tenues durables pour les jours de sortie ! Alors, si comme moi, vous vous souciez du sort de la planète et du bien-être de ses habitants, à commencer par ses enfants qu’ils naissent en Orient ou en Occident, je ne peux que vous encourager à vous interroger, avant de céder à toute impulsion d’achat, car derrière chaque vêtement confectionné se trouve un certain nombre d’humains du cultivateur de la matière première, aux petites mains qui se chargent de teinture ou des coutures…, des heures de travail et des ressources que nous nous devons de respecter afin de ne pas les épuise. Les vêtements portés par Merlin et Myrtille, pris en photos sont signés La queue du chat. Notez que le collectif ÉTHIQUE SUR L’ÉTIQUETTE, se bat pour mondialiser les droits humains au travail, textes de référence, rapport et vidéo à l’appui ! À voir également en replay Cash Investigation Toxiques Fringues, un documentaire riche d’enseignements ! Photos signées ©Olivier Cochard
About Collectif Ethique Sur L’étiquette Location Paris France Sector Textiles Type of organisation NGO Website Activities Advocacy, lobbying, citizen mobilization, media relations. Our Partners Trade unions and NGOs in the Global South; international union federations; European/global Clean Clothes Campaign network; French trade unions and organisations. Geographic Coverage To strengthen regulation in France, Europe and the UN. To improve the business models of multinational companies with headquarters in developed countries, to support workers in their struggles and promote human and labour rights in the textile industry in South East Asia, Turkey, Maghreb, East Europe. Strategies For Change Lobbying multinational firms headquarters; advocating for a strengthening of European and UN legislation; supporting workers in the South and in East Europe; media and citizen mobilisation in the North. More Members ActionAid France NGO, Agriculture, Montreuil Read More Alliance pour une Mine Responsable Europe NGO, Electronics, Extractive, Envigado, Colombie Read More Amis de la Terre France NGO, Agriculture, Extractive, France & International Read More Anti-Slavery International NGO, Agriculture, Electronics, Textiles, London Read More Banana Link Academic, Agriculture, Norwich, UK Read More BASIC NGO, Agriculture, Electronics, Textiles, Paris Read More
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