Persuadéd’être le père du futur bébé de Kylie Jenner, Tyga aurait demandé à la petite sœur de Kim Kardashian de faire un test de paternité une Faireun test de paternité en France légalement. Un test de paternité ne peut-être réalisé en France qu’après avoir obtenu l’autorisation du juge de tribunal de grande instance avec l’aide d’u avocat. Pour ce faire, il faut que le demandeur fournisse des preuves de paternité. De son côté, le juge recueillera le témoignage et le consentement des participants. Le test n’aura Untest qui devait rester confidentiel. L'ex-roi (85 ans), qui a régné de 1993 à 2013, avait accepté de se soumettre à ce test en mai dernier, à la Cecipeut être trompeur. En fait, il est peu probable que les cheveux que vous avez en votre possession soient corrects pour effectuer un test. Voulez-vous être contacté? ou Appel +32(0)28990878. Bureaux Internationaux. Accueil; Tests ADN. Tests de Paternité. Tests de Paternité à Domicile; Test de Paternité Prénatal; Tests de Filiation. Test de Fraternité; Test Enoutre, il n’est pas nécessaire de savoir au préalable comment faire un test de paternité puisque le mode d’emploi du kit est livré avec celui-ci. Enfin, le test de paternité pratiqué en France après obtention d’une ordonnance coûte la plupart du temps cher, car il faut obligatoirement passer par un avocat. Or, si vous effectuez ce même test dans un laboratoire Ilfaut toujours choisir de faire le test de paternité auprès d’une compagnie qui utilise un laboratoire accrédité ISO17025 et/ou AABB. Ceci assurera la qualité et l’exactitude des résultats. Il faut également s’assurer qu’au rapport du résultat un plein profil ADN est donné pour les 16 endroits analysés, aussi bien que la probabilité statistique de la paternité. Une . Avec un simple échantillon de salive, des entreprises basées en Europe, aux Etats-Unis ou en Israël, pour les plus connues, proposent pour moins de 100 € de décrypter votre patrimoine génétique et de vous donner vos pourcentages d’appartenance à différentes ethnies du monde ou vos risques de développer un cancer ou une autre maladie. Ces tests ADN sont-ils autorisés en Europe ? En France ? Quels sont les risques ? Il n’existe à ce jour aucune réglementation européenne sur les tests ADN. Les tests génétiques dit récréatifs proposés sur Internet aux consommateurs pour connaître l’origine de leurs ancêtres ou dépister une maladie sont autorisés dans plusieurs pays européens comme au Danemark, à Chypre, en Finlande, en Allemagne, en Italie, au Luxembourg ou aux Pays-Bas mais interdits au Portugal et en France, un test génétique ne peut être réalisé que sur demande du tribunal dans le cadre par exemple d’une recherche de paternité, ou par un médecin à des fins médicales ou de recherche scientifique. Si vous soumettez un échantillon d’ADN, vous encourez une amende de 3 750 € article 226-28-1 du Code pénal et les entreprises qui proposent ce service 15 000 € d’ génétiques = données personnelles protégéesEn demandant l’analyse de votre ADN, vous transmettez au laboratoire une information sensible protégée par la loi car elle permet l’identification d’une personne physique. En Europe, le Règlement Général de Protection des Données, le fameux RGPD entré en vigueur en mai 2018, a expressément introduit les données biométriques et génétiques » comme deux nouvelles catégories de données personnelles protégées. Pour les consommateurs, cela signifie qu’ils ont des droits comme le droit à l’information, à la modification, le droit d’accès et le droit à l’oubli de leurs données génétiques. Pour l’entreprise qui réalise le test ADN, elle a entre autres pour obligations de recueillir le consentement du consommateur, de l’informer de ses droits, de la durée de conservation des données mais aussi de sécuriser le stockage des RGPD vous protège et s’impose aux laboratoires, même basés dans des pays tiers, qui proposent des tests ADN aux consommateurs européens. Pour éviter les risques de commercialisation ou de piratage de la base de données génétiques, si vous avez eu recours à un test ADN sur Internet, demandez l’effacement de vos données au interprétation des résultats d’un test ADNL’engouement en Europe pour la connaissance de son patrimoine génétique et de ses prédispositions à développer certaines pathologies héréditaires fait craindre une interprétation hâtive, faute d’informations suffisantes sur la fiabilité du diagnostic. Compte tenu de l’évolution constante de la recherche médicale et génétique, des facteurs personnels du demandeur non pris en compte au moment du test mode et hygiène de vie, antécédents familiaux, environnement..., les mêmes résultats pourraient tout à fait être interprétés différemment dans quelques années. Restez critique et prudent sur les résultats reçus et discutez-en avec un psychologiquesFace aux résultats d’un test génétique qui révèlerait un secret de famille, une non paternité ou un lien de filiation, les conséquences psychologiques peuvent être graves. Le droit de savoir » peut avoir des limites lorsqu'il y a des risques pour le consommateur. L’action aux fins de subsides en l’absence de filiation paternelle ou en cas de paternité non reconnu On appelle les subsides une contribution financières pour les besoins alimentaires d’un enfant qui ne possède pourtant pas de filiation paternelle. Cela signifie que son père ne l’a pas reconnu, mais qu’il a eu des relations intimes avec la mère de l’enfant au moment de la date de conception de cet enfant. Ainsi, ce type d’action peut être mis en œuvre par un enfant de père inconnu ou bien par la mère de celui-ci. Il est important de noter que cette action est purement une action financière, et ne vise pas à faire établir un lien de filiation, elle se différencie donc de l’action en recherche de paternité. Qui peut engager une action aux fins de subsides ? c’est soit l’enfant, soit la mère -L’enfant de père inconnu peut lui-même engager cette action lorsqu’il est majeur, en saisissant directement le tribunal. -La mère de l’enfant, durant la minorité de celui-ci, peut engager pour les besoins de l’entretien de l’enfant cette action, devant le tribunal. La personne contre laquelle l’action va être engagée est l’homme qui a eu des relations intimes avec la mère de l’enfant pendant la période légale de conception étant rappelé que cette période légale de conception est définie juridiquement comme la période comprise entre les 300 et 180 jours précédents l’accouchement. Quel est le tribunal compétent ? Cette action aux fins de subsides, si elle est exercée, doit l’être devant le tribunal de grande instance Soit du domicile du père qui a eu des relations avec la mère durant la période de conception Soit du domicile de l’enfant Il convient de préciser que le recours à un avocat est obligatoire pour faire ce type de procédure, et ainsi, la mère ou l’enfant ne peuvent pas engager tous seuls ce type d’action. Quelles sont les preuves recevables ? Une telle action nécessite absolument d’apporter des preuves au Juge qui va statuer. Cette preuve de l’existence de relations intimes au moment de la conception de l’enfant soit entre les 300 et 180 jours précédent l’accouchement peut être apportée par tout moyen. Par exemple, un échange de lettre explicite entre le père et la mère au moment de cette conception, peut être retenu. Des photos également explicites de relation, démontrant une intimité manifeste entre le père et la mère, peuvent également être retenues. Bien entendu, des témoignages par des attestations écrites, si elles remplissent les conditions de l’article 202 du code de procédure civile elles doivent contenir l’évocation des faits auxquels son auteur a assisté, ou qu’il a personnellement constatés, la mention des noms, prénoms date et lieu de naissance, l’adresse du domicile, la profession de son auteur, éventuellement s’il y a un lien de parenté avec les personnes pour qui il atteste, la conscience que cette attestation sera produite en justice et que de fausses attestations peuvent l’exposer à des sanctions pénales, l’attestation doit être datée et signée de la main de son auteur et comporter en annexe la copie de tout document officiel justifiant de son identité. Etant rappelé que si des attestations produites en justice ne sont pas conformes aux articles 201 et 202 du code de procédure civile, elles peuvent être reçues comme des commencements de preuve par un Juge, et dans ce cas-là il faut qu’il y ait d’autres éléments qui viennent conforter ces attestations irrégulières en la forme. Donc, il est important de monter le dossier préalablement avec un Avocat qui pourra vous conseiller sur la forme et le contenu des attestations nécessaires. Quelles sont les sanctions en cas de fausse déclaration ? Il est toujours souhaitable de rappeler que des attestations sont importantes et qu’il ne faut pas les établir à la légère puisque Il convient de préciser que les articles 441-7 et suivants du code pénal répriment l’utilisation ou l’usage de fausses attestations. Cela consiste à établir une attestation ou un certificat faisant état de faits matériellement inexacts, de falsifier une attestation ou un certificat, de faire usage d’une attestation ou d’un certificat inexact ou falsifié, et les peines prévues sont d’un maximum un an d’emprisonnement et de 15 000€ d’amende qui peuvent être augmentés dans certains cas jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende. Dans quel délai cette action aux fins de subsides peut être engagée ? En ce qui concerne l’action possible de la mère de l’enfant, elle peut engager cette action pendant la minorité de l’enfant, c’est-à-dire jusqu’à ses 18 ans. Lorsque c’est l’enfant qui engage cette action, il peut l’engager pendant 10 ans à partir de sa majorité, c’est-à-dire jusqu’à ses 28 ans si cette action n’a pas été exercée durant sa minorité par sa mère. Sous quelles formes les subsides, et donc cette contribution financière va être versée ? Les subsides sont versés sous forme de pension, dont le montant est fixé en fonction Des besoins de l’enfant Des ressources du débiteur De la situation familiale du débiteur Etant précisé que la pension peut être versée au-delà de la majorité de l’enfant s’il est encore dans le besoin. Les subsides sont versés à la mère pendant la minorité de l’enfant, et à l’enfant pendant sa majorité. J’attire l’attention des auditeurs émission radio pour cet article qu’en cas de décès de la personne qui doit verser les subsides, le paiement de la pension est assuré par ses héritiers d’où l’importance, avant d’accepter une succession, de bien connaître l’actif qu’il y a dedans, mais également le passif, y compris ce type d’engagement. En résumé, nous l’aurons compris, l’action aux fins de subsides, que peu de gens connaissent, se distingue nettement de l’action en recherche de paternité qui consiste, elle, à établir un lien de filiation entre l’enfant et le père possible de celui-ci. Il s’agit donc de deux procédures différentes avec des buts différents. Dans quel cadre peut-on effectuer un test de paternité ? Le test de paternité est autorité uniquement, au jour de la présente note, dans le cadre d’une procédure judiciaire visant Soit à établi ou contester un lien de filiation, Soit à obtenir ou supprimer des subsides. Le consentement du père présumé est obligatoire, et procéder à tout test de paternité en dehors de ce cadre judiciaire est illégal. Un tel test de paternité peut être ordonné par le juge du tribunal de grande instance, saisi obligatoirement par un avocat. Au niveau médical, deux méthodes sont utilisées, soit l’examen comparé des sangs, soit l’identification par les empreintes génétiques, c’est-à-dire par des tests ADN. Ce type de test est exercé uniquement par des techniciens spécialement agréés par les tribunaux à cet effet. Je précise qu’aucun test de paternité ne peut être réalisé avant la naissance de l’enfant au niveau du fœtus. Site d’information juridique générale, mais chaque cas est particulier est nécessite un avis éclairé par un avocat avec tous les justificatifs nécessaire. tel 04 94 67 29 19 RECHERCHE DE PATERNITe L’action judiciaire visant à rechercher la paternité permet à un enfant d’établir son lien de filiation avec celui qu’il pense être son père. C’est le tribunal de grande instance qui est compétent. Qui est concerné ? L’action en recherche de paternité peut être exercée à l’encontre Du père prétendu Ou de ses héritiers si le père prétendu est décédé Ou de l’Etat si les héritiers ont renoncé à la succession L’action en recherche de paternité est réservée A l’enfant qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père présumé Ou sa mère s’il est mineur Ou ses héritiers s’il décède Comment exercer cette action en justice ? L’action en recherche de paternité doit être faite devant le tribunal de grande instance du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation. Dans quel délai cette action est-elle possible ? Les délais varient selon l’auteur de la saisine Lorsqu’il s’agit de la mère qui veut faire reconnaître le lien de filiation du père, elle peut exercer l’action pendant toute la minorité de l’enfant. Lorsque c’est l’enfant qui veut engager une action pour faire reconnaître un lien de paternité, il peut l’engager jusqu’à 10 ans après sa majorité, soit jusqu’à ses 28 ans. Particularité, lorsque l’enfant a eu lui-même des enfants, et décède avant ses 28 ans, ce sont donc les enfants, c’est-à-dire les petits enfants, qui peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont le propre père disposait pour agir. Quelles sont les cas de recevabilité d’une action en recherche de paternité ? L’action en recherche de paternité est parfois irrecevable En cas d’inceste absolu par exemple de relation entre père et fille, mère et fils, frère et sœur car le droit estime que dans ce cas là ce lien de filiation n’a pas à être établi. Lorsque l’enfant est placé en vue de son adoption, car, dans ce cas là le droit estime qu’il est peut-être de l’intérêt de l’enfant d’éviter une forme d’instabilité. Lorsqu’un lien de filiation est déjà établi à l’égard d’un autre homme. C’est-à-dire que si le lien de filiation est déjà établi au nom d’un autre homme, il faut préalablement contester le lien de filiation avant d’engager une action en recherche de paternité. Quelles sont les preuves de paternité ? La preuve de la paternité peut être apportée par tous moyens, témoignages, lettres du père, photos… Si l’action est recevable, une expertise génétique pour faire reconnaître cette paternité va probablement être ordonnée par le Juge car souvent demandé par l’auteur de la saisine afin de conforter son action. Une particularité c’est que cette expertise nécessite le consentement du père présumé mais le refus de se soumettre à un test de paternité peut être analysé comme un aveu de paternité par le Juge. Autre particularité, une expertise sur une personne décédée est interdite, sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant, et donc avant son décès. Quels sont les effets de la procédure ? Si le tribunal fait droit à la demande en recherche de paternité, la filiation si elle est démontrée, sera établie de manière rétroactive à la date de naissance de l’enfant. L’enfant aura les mêmes droits que s’il avait été reconnu depuis le début. Ce même juge peut, dans ce cas-là, s’il en est saisi, statuer sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et l’éducation de l’enfant, également sur l’attribution du nom du père. site d informations générales sans lien avec la solution de votre propre litige car est cela est important chaque dossier est différent et nécessite une étude de tous les éléments et pièces pour apporter une réponse adaptée Table des matières Comment faire un désaveu de paternité en Belgique ? Qui peut demander un test de paternité en Belgique ? Comment faire un test de paternité en Belgique ? Comment savoir qui est le père ? Qui peut exiger un test de paternité ? Comment faire un désaveu de paternité en Belgique ? L'action en contestation de la présomption de paternité peut être introduite par la mère, dans l'année qui suit la naissance ;l'enfant, au plus tôt le jour où il atteint l'âge de 12 ans et au plus tard le jour où il atteint l'âge de 22 ans ou dans l'année où il découvre que le mari n'est pas son père ; Qui peut demander un test de paternité en Belgique ? Nous acceptons les demandes impliquant une personne mineure sous les conditions suivantes Pour la reconnaissance de paternité, nous exigeons toujours l'accord écrit des deux parents légaux. Pour la contestation de paternité, nous exigeons toujours de recevoir une demande écrite d'un avocat. Comment faire un test de paternité en Belgique ? Le Service des Empreintes Génétiques de l'Université Libre de Bruxelles et de l'Hôpital Erasme, son hôpital universitaire, est au service de la société pour effectuer des tests de filiation tests de paternité ou tests ADN. Comment savoir qui est le père ? Le test de paternité peut être réalisé selon 2 méthodes soit un examen comparé des sangs, soit une identification par les empreintes génétiques test ADN, généralement grâce à un échantillon de salive. Les marqueurs génétiques propres à chaque individu sont analysés. Qui peut exiger un test de paternité ? Le test de paternité peut être sollicité automatiquement en matière de filiation sauf s'il existe un motif légitime de ne pas pouvoir y procéder. ... Le test de paternité est ordonné par le juge du tribunal saisi par un avocat. Il peut être accompli selon 2 méthodes Examen comparé des sangs. Comme vous le savez peut être, les tests ADN de paternité dans plusieurs pays dont la France ne peuvent être menés que dans le cadre d’une procédure judiciaire… Néanmoins, il est possible de commander un test ADN de paternité aux états unis pour celles et ceux qui souhaitent avoir rapidement une réponse à est-ce vraiment mon père? » ou est-ce vraiment ma fille ou mon fils? » sachant que cela n’aura aucune valeur juridique. Deux sociétés américaines permettent de faire de tel tests. La société américaine 23andme propose un test adn de paternité pour 99 dollars par personne. Attention, le résultat du test ADN est disponible après 1 mois à la réception d’un échantillon de salive. Biensûr, il faut commander un pack pour les deux membres de la famille, et il faut deux échantillons de salive. Cliquez ici pour commander un test génétique chez 23andme Lorsque l’ADN d’un client de 23andme est analysé, il est ajouté à une base de donnée. Un programme vérifie automatiquement la proximité génétique de toutes les personnes dans la base de donnée et leur taux d’ADN partagé. Chaque client obtient un compte privé en ligne et peut ensuite trouver ses parents dans une section du site 23andme qui s’appelle relative finder ». Relative finder est un moteur de recherche de parents. Ainsi, après que les deux personnes aient crachées un petit peu de salive dans une fiole, ils peuvent s’identifier en ligne dans leur compte personnelle et vérifier si l’autre personne est bien un parent proche. S’il s’agit d’un père ou d’un enfant, le panneau de relative finder » doit être similaire à la capture d’écran ci-dessous. Sur la première ligne, on peut lire que sous predicted relationship », il y a parent or child ». Cela indique que le programme a détecté assez de proximité génétique pour définir la filiation directe parent ou enfant ». Une autre information confirme la filiation directe. En effet, sous % DNA shared » pourcentage d’ADN partagé on peut lire 50 pour Jody Lutter. Cela veut dire que 50% de l’ADN du possesseur du compte est partagé avec Jody Lutter de la base de donnée. Ceci est typique du rapport de filiation parent/enfant. Jody Lutter est soit l’enfant du possesseur du compte soit sa mère. Pour votre information, dans cette section relative finder », la première entrée en haut de la page correspond toujours à la personne qui est la plus proche génétiquement du possesseur du compte. D’autre part, quand il s’agit d’un père et d’un fils, ils possèdent le même haplogroupe Y. Il est possible de vérifier cela dans les résultats du test ADN 23andme dans la section paternal line » lignée paternelle ». Par exemple, si l’haplogroupe Y du père est R1b1, l’haplogroupe Y du fils doit être R1b1. A noter que la seule procédure requise pour obtenir les résultats, c’est une signature de la personne qui renvoie sa salive au laboratoire. Cliquez ici pour commander un test génétique chez 23andme Pour de nombreux pères face à des difficultés, la naissance d’un enfant entraîne des questionnements difficiles. Puis-je reconnaitre un enfant qui n’est pas le mien ? Quand dois-je reconnaître l’enfant ? Peut-on me forcer à reconnaître un enfant ? La mère peut-elle m’interdire de reconnaître mon enfant ? Comment savoir d’abord si c’est mon enfant ? Jusqu’à quand puis-je reconnaître l’enfant ?... L’objet de cet article est de faire le point sur ces questions pratiques et indispensables. Pour la plupart des parents, la chose se passe simplement, l’acte de naissance est établi en faisant mention des deux parents et c’est tout. Mais pour d’autres, une difficulté, souvent issue de relations difficiles entre les deux parents, transparaît. Que ce soit le père biologique qui rechigne à reconnaître l’enfant ou la mère qui ne le souhaite pas, de nombreuses questions se posent. Qui peut reconnaître un enfant ? Seul le parent biologique a le droit de reconnaître l’enfant. Le fait de reconnaître un enfant en sachant que ce n’est pas le sien est une fraude. Quand peut-on reconnaître un enfant ? On peut reconnaître volontairement son enfant n’importe quand, durant toute la vie, il n’y a pas de limite. En revanche, la reconnaissance judiciaire ou la contestation de paternité sont enfermées dans des délais stricts cf ci-dessous. Comment reconnaît-on un enfant ? Pour reconnaître un enfant, il suffit de se rendre en mairie au service de l’état civil et de déclarer être le père de l’enfant. Il est possible de faire une reconnaissance prénatale, donc avant la naissance de l’enfant. Elle sera alors confirmée lors de la naissance. Cette reconnaissance prénatale est particulièrement importante pour éviter les difficultés au cas où la mère accouche sous X ou encore si le père décède avant la naissance de l’enfant. La reconnaissance une fois faite sera inscrite en marge de l’acte de naissance de l’enfant et la mère informée par courrier. En aucun cas, la mère ne peut s’opposer à la reconnaissance, elle n’a pas non plus à donner son accord ou son autorisation. On peut aussi faire cette reconnaissance par acte notarié et il est même possible dans ce cas de demander le secret de cette reconnaissance. C’est peu usité. Peut-on faire un test ADN avant de reconnaître son enfant ? En France, il est illégal de faire un test ADN sans qu’il ait été ordonné par le tribunal. Toutefois, les tests ADN sont libres dans de nombreux pays frontaliers de la France, vous pouvez si vous le souhaitez, vous rendre dans l’un de ces pays avec l’enfant et faire le test. Si vous voulez absolument faire le test en France, il faudra alors que la mère fasse une procédure en reconnaissance forcée de paternité contre vous et demande un test ADN. J’ai reconnu un enfant qui n’est pas le mien, je voudrais annuler ma reconnaissance. Reconnaître un enfant, c’est faire l’aveu de sa paternité et s’engager pour l’avenir. C’est un acte irrévocable, vous ne pouvez donc pas vous rétracter par votre seule volonté, il va falloir faire une procédure en justice en contestation de paternité étant précisé d’une part qu’il y a des délais, d’autre part cela peut être refusé si le tribunal considère que c’est contraire à l’intérêt de l’enfant. Et enfin, il faut savoir qu’une condamnation à des dommages intérêts est possible car les tribunaux considèrent qu’en annulant cette reconnaissance, vous n’assumez pas les engagements pris envers l’enfant. Vous avez un délai de 10 ans pour faire cette procédure, à compter de la date à laquelle vous avez reconnu l’enfant. Attention, si vous vous êtes comporté envers l’enfant comme un père, c’est-à-dire s’il avait la possession d’état de fils, le délai est réduit de moitié et vous n’avez que 5 ans ! La possession d’état dont il est question est un ensemble de faits par lequel vous exprimez socialement votre paternité article 311-1 et 2 du code civil. Quelles sont les conséquences d’une reconnaissance d’enfant ? La reconnaissance de paternité est un acte déclaratif qui produit ses effets rétroactivement depuis la naissance, voire dès la conception de l’enfant chaque fois que c’est son intérêt. Reconnaître sa paternité, c’est reconnaître un enfant comme le sien avec tous les droits et obligations qui s’y rattachent. Pragmatiquement parlant, cela veut dire que le père a les mêmes droits que la mère. Donc • Si la reconnaissance a eu lieu avant les 1 an de l’enfant, l’autorité parentale est conjointe de droit, sinon le père peut la demander par tribunal ; • Une pension alimentaire peut lui être demandée si l’enfant ne vit pas à temps plein avec lui ; • Le père peut demander à voir son enfant régulièrement, à le recevoir chez lui, à ce qu’il habite avec lui ; • L’enfant devient héritier réservataire de son père qui ne peut donc pas le déshériter ; • Lorsque le parent sera âgé, l’enfant pourra lui devoir une pension alimentaire si cela s’avère nécessaire ; • L’enfant peut porter le nom de son père. Je ne veux pas reconnaître cet enfant, peut-on m’y forcer ? Oui, absolument. La mère peut, au nom de l’enfant faire une procédure en reconnaissance de paternité forcée. Un test ADN sera alors ordonné. Si vous refusez de le faire, le tribunal pourra quand même décider que vous êtes le père de l’enfant. La mère a un délai de 10 ans à compter de la naissance de l’enfant, après elle ne peut plus agir. Attention, l’enfant peut lui aussi agir pour vous y contraindre et ce, dans les 10 années qui suivent sa majorité. Mon frère est décédé sans reconnaître son fils, peut-il tout de même faire une procédure ? Oui, mais attention, il ne pourra pas demander de test ADN sur une personne décédée. En revanche, il pourra demander un test ADN sur un membre de la famille par exemple vous-même, si vous en êtes le frère. Je voudrais reconnaître mon enfant mais un autre l’a déjà fait, que puis-je faire ? Vous devez reconnaître l’enfant puis faire une procédure en contestation de la paternité de l’autre homme et en reconnaissance de la vôtre. Un test ADN sera ordonné qui déterminera qui est réellement le père de l’enfant. En principe, votre paternité sera rétablie sauf ce qui est exceptionnel, si le tribunal juge que ce n’est pas l’intérêt de l’enfant. J’ai 40 ans et ma mère vient de m’avouer que mon père n’est pas celui qui m’a reconnu. Que puis-je faire ? Malheureusement rien, les délais sont prescrits. Vous ne pourrez en aucun cas changer la paternité indiquée à l’état civil. Toutefois, si certaines conditions sont réunies, vous pourriez envisager d’être adoptée en adoption simple par votre père biologique, mais il faut consulter un avocat pour déterminer si cela est envisageable dans votre cas spécifique.

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